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Cydalima perspectalis (Walker, 1859)
= Diaphania perspectalis (Walker, 1859) - Pyrale du Buis

autre nom : Cydalima perspectalis

La pyrale du buis est un lépidoptère de la famille des Crambidae, originaire d’Asie (Chine, Japon, Corée).

C’est un papillon nocturne, attiré par la lumière, que l’on peut voir tournoyer autour des lampadaires, mais que l’on ne voit voler de jour que s’il a été dérangé. La chenille de ce papillon ne semble consommer que des feuilles de buis (déjà observé en europe sur Buxus sempervirens (buis commun) ; Buxus sempervirens L. ’ Rotundifolia ’ (ou buis à feuille ronde qui est une variété horticole), et Buxus colchica Pojark (ou buis de Colchide ou du Caucase).

Il s’agit d’une espèce invasive, qui figure depuis 2008 sur la liste d’alerte de l’Organisation européenne et méditerranéenne pour la protection des plantes (OEPP, 2007). Son introduction accidentelle en France a été repérée en 2008, mais le nombre d’individu laisse penser qu’elle date de 2005 au moins. Depuis, cette espèce est régulièrement signalé en Alsace, et plus récemment en Île-de-France et en Poitou-Charentes. On le trouve également en Suisse et sur la Côte d’Azur. (WIKIPEDIA)


Si vous trouvez le papillon ou la chenille de cette espèce, vous pouvez contacter les membres de la Société Alsacienne d’Entomologie (une enquête sur son expansion est en cours) : http://sites.estvideo.net/sae/pyral...



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Drymonia querna (Denis & Schiffermüller, 1775)
Demi-lune blanche, Bombyx druide
Méditerranéo-asiatique. Répandue en Europe, de la péninsule Ibérique à l’asie Mineure, remonte jusqu’en Allemagne. En France, elle est présente un peu partout, à l’exception des régions au climat froid. Assez localisée, elle semble affectionner les forêts de chênes thermophiles. Les chenilles se nourrissent sur divers Quercus. L’habitus de cette espèce est assez proche de celui de D. ruficornis, s’en distingue par sa tache discale claire. Période de vol : (VI) –VII-VIII. Espèce univoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Peridea anceps (Goeze, 1781)
Timide
Eurasiatique. Présente un peu partout en Europe jusqu’en Afrique du Nord et en Turquie. Largement répandue en France, à l’exception des régions au climat trop rude. Son habitat est constitué par les bois, les forêts bien exposées, ainsi que les garrigues où sont bien représentés divers quercus dont les chenilles mangent les feuilles. Métamorphose dans la litière. Période de vol : IV-VI. Espèce univoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Alabonia geoffrella (Linnaeus, 1767)
Oecophore nervurée

Envergure 17-21 mm.

Ce petit papillon aux dessins et couleurs remarquables, roux, blanc et bleu métallisé, vole le jour. Il possède de grands palpes labiaux. La larve vit sous l’écorce du bois en décomposition.

Espèce univoltine. Période de vol : Mai - Juin



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Adela reaumurella (Linnaeus, 1758)
Adèle verdoyante
Observation de Claudine Despland - St Julien (74) - 01/05/2012 Observation de Francoz Philippe - Trévignin (73) - 02/05/2011 Rencontres Papillons de Poitou-Charentes - Nalliers (86) - 23/04/2011 Observation de M. Joussain Jean-Michel - Périgueux (24) - 18/04/2011 Observation de Gérard Vogel - Mouzay (55) - 14/04/2011 Observation de M. Teulier Emilien - Reynies (82) - 12/04/2011 Observation de Brigitte Seys - Phalempin (59) - 09/04/2011 Observation de Benoiton Jean-Louis - Saint-Valérien (89) - 22/05/2010 Observation de Mme Blanc Josselyne - Savas (07) 08/05/2010 Observation de Mr (...)

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Melitaea cinxia (Linnaeus, 1758)
Mélitée du plantain
Adulte : 33-40 mm. Fauve orangée clair à fauve orangée jaunâtre, réticulé de noir, avec une série de points noirs dans la bande submarginale des ailes postérieures, également bien visible au revers, cernés d’un halo fauve orangée. Plante – hôte : Surtout le plantain lancéolé et d’autres plantains mais aussi la Véronique d’Autriche, l’épervière piloselle et la centaurée jade. Chenille : Atteint 25 mm. Noire avec des épines concolores, des rangées transversales de points blancs et la tête rouge. Habitat : Avant tout dans les milieux ouverts et secs, lieux incultes, orées forestières. En recul dans la moitié nord et dans l’ouest de la France. Biologie : L’adulte, thermophile, aime à se chauffer sur le sol nu. Les œufs sont déposés en amas de plusieurs couches à la face inférieure des feuilles de la plante hôte. Les chenilles vivent dans un nid soyeux communautaire dans lequel elles hivernent à mi-taille. Elles se dispersent au printemps, atteignent toutes leur taille en avril et se nymphosent en mai à l’abri d’un réseau soyeux lâche, à proximité du sol. La chrysalide, succincte, grise, porte de nombreuses protubérances dorsales claires. Selon les régions, l’espèce donne 1 ou 2 générations annuelles. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

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Lycaena phlaeas (Linnaeus, 1761)
Cuivré commun, Bronzé
22-27 mm. Sexes semblables, ailes antérieures rouge cuivré à vif écarlate, bordées de brun et ponctuées de noir ; ailes postérieures brunes avec une bande marginale cuivrée, points post - discaux bleus. Revers antérieures semblables au dessus, postérieures gris beige terne, avec de petits points noirs, fine bande orangée. Papillon actif, le petit Cuivré a un comportement territorial. Le mâle chasse vigoureusement tous les concurrents qui s’aventurent sur son territoire, de peur qu’ils ne deviennent des prétendants encombrants auprès des femelles du voisinage. Habitat : milieux ouverts, lieux incultes ensoleillés. Biologie : l’adulte vole sur une très longue période de la mi-avril à la fin d’octobre, au cours de 4 générations se chevauchant plus ou moins. Les œufs, hémisphériques, bruns et alvéolés sur la surface, sont déposés un à un à la face inférieure des feuilles de la plante hôte, souvent la femelle en pond plusieurs sur un plant minuscule. La chenille a une forme de cloporte, les pattes étant invisibles du dessus (elle est dite « onisciforme ») ; elle est verte et finement poilue avec, en général, trois bandes roses – une sur le dos et deux sur les flancs – qui se rejoignent au niveau de la tête et de l’arrière. Elle hiverne généralement jeune, plus rarement âgée. La nymphose s’effectue à terre entre quelques feuilles de la plante hôte reliées par de la soie. La chrysalide, bombée, brun clair avec de petits points noirs, est généralement retenue par une ceinture de soie sous une feuille ou à la base de la tige de la plante hôte. Plantes hôtes : Rumex : Petite Oseille et Oseille des prés, parfois Patience sauvage (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann / en partie)

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Pararge aegeria (Linnaeus, 1758)
Tircis

Adulte : brun sombre marqué de taches clair jaune pâle à fauve orangé, avec un ocelle pupillé de blanc à l’apex des ailes antérieures, et autres ocelles identiques sur la marge des postérieures. Revers des ailes postérieures lavé de violâtre sur la marge. Chenille : Atteint 27 mm de longueur. Assez effilée, vert pâle, couverte d’une pubescence rase, avec la tête verte et une ligne dorsale sombre liserée de clair. Plantes hôtes : sur diverses graminées : Palène, Canche bleue, Roseau des bois. Mais aussi sur les Cypéracées : Laîche des bois. Habitat : préférentiellement dans les bois clairs et le long des orées forestières. Encore commun presque partout.

Biologie : dans le nord de son aire de répartition, le Tircis et représenté par la sous-espèce à tache crème ou jaune clair, et dans le sud par la sous-espèce, à tache fauve orangée. Dans les zonez de contact entre les deux sous-espèces, on observe des formes de transition. Le mâle présente un comportement territorial accusé. Posté sur une feuille, il surveille son domaine et fond sur tout concurrent pénétrant dans son territoire, pour aussitôt après regagner son poste de guet. L’adulte ne fréquent guère les fleurs ; il se nourrit davantage des écoulements de sève et du suc des fruits avancés, et s’abreuve aussi sur le sol humide. Les œufs sont déposés isolément sur les feuilles de la plante hôte. La chenille, diurne dans son jeune âge, adopte en cours de croissance des mœurs nocturnes ; elle se nymphose près du sol. Chrysalide suspendue, verte. L’espèce hiverne à l’état larvaire ou nymphal. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)



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Brenthis daphne (Denis & Schiffermüller, 1775)
Nacré de la ronce
40-50 mm. 1 génération Adulte : ailes arrondies, fauve orangé vif, avec la bande marginale noire incomplète, nettement fractionnée aux postérieures. Revers de l’aile postérieure à motifs plutôt fondus,avec une bande postdiscale comparable à celle de Brenthis ino ; dans la bande médiane jaune verdâtre, la tache disco-cellulaire de l’espace 4 est toujours suffusée de violet ; aire marginale elle aussi presque entièrement suffusée de violet. Habitat : Orées forestières chaudes et ensoleillées, clairs-bois mésophiles. Espèce méditerranéenne naguère restreinte en France au Midi et à l’Alsace ; a fortement progressé vers le Nord atteignant la région parisienne en 1997. Biologie : l’adulte butine sur les Ronces et les Chardons. Les œufs sont déposés isolément, en juillet, sur les feuilles de la plante hôte. La chenille qui hiverne manifestement formée dans l’œuf, se tient à découvert sur les feuilles des Ronces. La chrysalide, suspendue, porte 2 rangées dorsales d’épines flanquées de taches brillantes à vif éclat bleu métallique. La Chenille atteint 28 mm de longueur. Ressemble beaucoup à celle de Brenthis ino ; en diffère par les stries longitudinales sombres, contrastant davantage sur le fond blanc, et par ses épines jaunes, à pointe non distinctement éclaircie. Plantes hôtes : Ronces (Rubus fruticosus) et Framboisier (Rubus idaeus) (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)// 42-52 mm. Se différencie de Brenthis hecate par les taches moins distinctes sur le dessous de l’aile postérieure et par la rangée irrégulière de taches postdiscales sur le dessus de l’aile antérieure. Vole dans les vallées jusqu’à 1200 m en juin juillet. Commun à l’Est de son aire de répartition. PN : Ronces, Violette. (Octopus. Tous les papillons de France et d’Europe. P. Whalley)

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Saturnia pyri (Denis & Schiffermüller, 1775)
Grand paon de nuit

L’imago est visible de avril à mai. C’est le plus grand papillon d’Europe. Espèce assez répandue en Europe méridionale et dans le Sud de l’Europe moyenne. Assez commune en France, mais absente du Nord. Longueur maximale : 120 mm. Corps d’un vert jaunâtre vif. Dorsalement et latéralement, des tubercules saillants, en grande partie bleus et munis de grandes soies noires. De chaque côté de l’abdomen, sous les stigmates, une ligne longitudinale de couleur blanchâtre. Pattes brunes. Ecusson anal brun, ainsi qu’une partie des fausses pattes anales. Tête verte avec un dessin noir en forme de "V". Les jeunes chenilles sont noires avec des tubercules rouges. (guide des chenilles d’Europe)

Répandue presque partout dans la moitié sud de la France, beaucoup plus rare vers le Nord où sa présence est sporadique. Semble en voie de régression dans plusieurs régions comme le Bassin parisien, par exemple. Fréquente les espaces arborés, les parcs et les jardins, les vallons à végétation arbustive où sa chenille se nourrit de différents feuillus (Aulne, Peuplier, Saule, Frêne) et arbres fruitiers. Les adultes volent jusqu’à l’altitude de 1800 m dans les Alpes ; leur vol est crépusculaire et nocturne. Les mâles sont fortement attirés par les phéromones émises par les femelles. Période de vol : Avril à Juin. Espèce univoltine. (Guide des papillons nocturnes de France - Delachaux et Niestlé)



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Polyommatus icarus (Rottemburg, 1775)
Azuré de la bugrane, Azuré commun
C’est l’un des papillons les plus communs dans nos régions et il fréquente la plupart des prairies naturelles et semi-naturelles. Localement, les bonnes années, il peut même être très abondant. Malgré une certaine variabilité, la plupart des mâles ont un recto bleu nuancé de violet. Celui de la femelle est brun, avec des macules orange et une sulfurisation bleu-violet à la base des ailes d’étendue variable. Le revers des deux sexes est gris-brun avec des macules oranges et des points noirs cernés de blanc. Se rencontre dans une grande variété de lieux, de la plaine jusqu’à plus de 2000 m, partout où ses plantes-hôtes abondent. Plantes hôtes : Lotier, Fabacées. Vol : Avril à octobre, en générations successives. (Nature en poche - Larousse)

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Argynnis paphia (Linnaeus, 1758)
Tabac d’Espagne
Adulte : Mâle fauve orangé vif, orné de points et de stries noires, dont quatre épaisses stries androconiales sur les nervures postérieures de l’aile antérieure. Femelle fauve terne, plus rarement gris verdâtre sombre (forme valesina Esper) dépourvue de stries. Revers des ailes postérieures vert à reflet métallique dans les deux sexes, traversé de bandes blanc nacré s’amincissant d’avant en arrière. Chenille : Atteint 38 mm de longueur. Brun foncé, avec deux bandes dorsales jaune adjacentes et des épines fauves ; en outre, une paire d’épines thoraciques noires, dépassant la tête à la manière d’antennes. Plantes hôtes : sur divers espèces de Violettes, selon les région, par exemple sur la Violette hérissée (Viola hirta) Habitat : orées et laies forestières, clairières mésophiles richement fleuries, prairies sylvatiques. Espèce encore assez répandue et abondante, reste la plus commune de toutes les Argynnes. Biologie : l’espèce ne donne qu’une génération annuelle. Lors de la parade nuptiale, le mâle plonge en vol sous la femelle, stimulant celle-ci en répandant le parfum de ses androconies. Si la femelle est réceptive, elle se pose rapidement, oriente son abdomen en direction du mâle, venu se poser à ses côtés, et distille à son tour au moyen de ses glandes abdominales des hormones aphrodisiaques propre à stimuler son partenaire, qui procède alors à l’accouplement. Les oeufs sont déposés non pas sur les plantes nourricières, mais à proximité de celles-ci, sur le fût des arbres avoisinants, notamment des pins et des épicéas. A cet effet la femelle décrit en vol une spirale autour du tronc choisi, y déposant un œuf tous les mètres environ. Les chenilles éclosent à la fin de l’automne, et sans prendre la moindre nourriture, s’enferment dans un abri soyeux pour hiverner. En mars, elles gagnent les violettes, sur lesquelles elles se nourrissent la nuit, se dissimulant sous les feuilles durant la journée. La nymphose s’effectue sur un rameau à peu de distance du sol. La chrysalide suspendue, brune, présente des rangées de protubérances dorsales acuminées et des taches brillantes à reflet bleu métallique. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

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Calliteara pudibunda (Linnaeus, 1758)
Patte étendue, Pudibonde
Atteint 50 mm de longueur. pourvue d’une pilosité longue et dense ; face dorsale portant des pinceaux de poils en forme de blaireau sur les segments 4 à 7, ainsi qu’un autre, étroit et allongé, sur le onzième segment. Teinte variable, soit jaune verdâtre ou jaune, avec les pinceaux anterieurs jaunes ou blancs, soit beige rosâtre, avec les pinceaux anterieurs rose blanchâtre ; pinceau posterieur variant du rouge au noir. Guide nature "Quel est donc ce papillon ? Nathan

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Acherontia atropos (Linnaeus, 1758)
Sphinx tête de mort
Olivier, Lilas, Catalpa, Datura, Pommes de terre, Jasmin, Buddleia, Aubergine, Frêne
Observation de Filomenko Madeleine - Ahuy (21) - 21/07/2016 Observation de Sérieys Claude - Gémenos (13) - 19/07/2016 Observation de Bigot Jean-Marc - Tours (37) - 13/08/2015 Observation de Bigot Jean-Marc - Tours (37) - 30/07/2015 Observation de Tashan Michel - Gap (05) - 09/08/2013 Observation de Georges Gwénaël - Yvré l’Evèque (72) - 31/07/2013 Observation de Madame Golé Mireille - Lavercantière (46)- 18/07/2013 sur Pomme de terre Observation Porteneuve Jean-Jacques - Lunel-Viel (34) - 15/11/2012 (...)

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Acleris ferrugana (Denis & Schiffermüller, 1775)
Observation de Joussain Jean-Michel - Périgueux (24) - 15/03/2012 Env. 15 mm.
Observation de Mr Dauphin Claude - Bogny sur Meuse (08) - 25/03/2003

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Acleris kochiella (Goeze, 1783)
Observation de Joussain Jean-Michel - Périgueux (24) - 13/03/2012

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Acleris literana (Linnaeus, 1758)

Envergure 8-10 mm.

Période de vol : VIII-IX, puis IV-V après avoir hiverné.

Répandue dans toute l’Europe et bien répartie en France.

Chenille sur Quercus, Acer, Betula.

Nouveau Catalogue des Lépidoptères des Deux-Sèvres - Mai 2013 - Cahiers de l’OPIE N°2



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Aethes williana (Brahm, 1791)
Observation Porteneuve Jean-Jacques - St Julien (83) - 07/07/2022 Observation de joussain jean-michel -perigueux 24-07/05/2012

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Agonopterix kaekeritziana (Linnaeus, 1767)
Observation de Francoz Philippe - Villarodin-Bourget - (73) - 28/07/2016 Observation de Joussain Jean-Michel - Périgueux (24) - 08/10/2011 Rencontres Papillons de Poitou-Charentes - Saint-Martin-de-Fugères (43) - 11/09/2010 Observation de Mme Blanc Josselyne - Savas (07) - 01/07/2010 Observation de Francoz Philippe - Valloire (73) - 14/08/2007

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Phigalia pilosaria (Denis & Schiffermüller, 1775)
Phalène velue, Phalène de l’aulne
Largement répandue en Europe comme en France. Dans les zones boisées, parcs, jardins, zones urbaines. La coloration du mâle est assez variable (jusqu’à la forme monacharia). Une grande forme existe dans les Alpes (ssp. prostae). La femelle, aptère, s’observe sur le tronc des arbres. Les chenilles vivent sur divers feuillus tels que Peuplier, Saule, Charme, Chêne, Poirier, Pommier, Sorbier... La chrysalide hiverne. Période de vol : Février à Avril. Espèce univoltine. (Guide des papillons nocturnes de France)

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Archiearis notha (Hübner, 1803)
Illégitime
Paléarctique. Toute l’Europe, depuis l’Espagne centrale jusqu’au Japon.Elle est répartie dans la partie Nord de la France, le centre, le massif alpin, les Pyrénées-Orientales, l’Ouest (Vendée et Gironde). Elle fréquente les bords de cours d’eau, les forêts humides où elle peut être commune. Elle vole autour des chatons, au sommet des saules et des trembles, en compagnie de A. parthenias. Sa chenille vit sur Populus tremula. La chrysalide hiverne dans un cocon. Période de vol : Mars-Avril. Espèce univoltine. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Biston strataria (Hufnagel, 1767)
Biston marbré, Marbrée
La Marbrée. Espèce variable (NT). Espèce répartie à travers toute l’Europe, puis en Asie jusqu’en Extrême-Orient. France : présente partout, mais un peu moins commune au sud. Affectionne les bois clairs, les prairies humides, les grands parcs et jardins. Chrysalide hivernante. Espèce univoltine en III-IV. Chenille sur diverses essences de feuillus : Populus, Salix, Quercus, Ribes, Acer, Lonicera. (Nouveau Catalogue des Lépidoptères des Deux-Sèvres - Guyonnet Antoine, Lemoine Christian, Thibaudeau Norbert).

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Chloroclysta siterata (Hufnagel, 1767)
Cidarie à bandes vertes, Phalène à bandes vertes

Adulte : 25-30 mm Ailes antérieures vert sombre à brun olivâtre, traversées par une bande médiane foncée s’élargissant vers le bord costal, et marquées à la côte d’une tache subapicale blanche.

Chenille : Atteint 27 mm. Grêle, vert clair, munie de deux pointes effilées à l’extrémité abdominale, souvent pourvue de stries dorsales rouges étirées, ou avec la face ventrale rouge.

Plantes hôtes : Sur diverses essences feuillues, notamment sur le Peuplier tremble, le Saule marsault, le Chêne pédonculé, le Sycomore, le Tilleul d’hiver et la Bourdaine.

Habitat : Forêts de feuillus sèches ou humides. Espèce commune presque partout.

Biologie : L’espèce ne donne qu’une génération annuelle. L’adulte émerge à la fin de l’été et reparaît après hivernage dès la fin de février, époque à partir de laquelle interviennent les premiers accouplements. La chenille se tient à découvert sur la plante hôte ; elle se nymphose au sol. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

Répandue à travers l’Europe, de la péninsule Ibérique au Caucase, puis jusqu’en Asie Mineure. Presque partout en France, plus commune en moyenne montagne, mais présente jusqu’au littoral méditerranéen. Elle fréquente jardins, vergers, forêts mixtes, friches. La chenille, polyphage, se nourrit sur Chêne, Sorbier, Rosier, Prunier, Sycomore, Saule, Peuplier tremble (Quercus, Sorbus, Rosa, Prunus, Acer pseudoplatanus, Salix caprea, Populus tremula). Période de vol : (III-V) VIII-IX. Espèce univoltine, qui réapparaît au premier printemps, après hivernage. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)



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Coscinia cribraria (Linnaeus, 1758)
Crible, Ecaille criblée

Adulte : Ailes antérieures blanches, ornées de points noirs disposés en rangées transversales ; de densité variable, la ponctuation peut manquer presque complètement. Ailes postérieures blanches avec une ombre costale grise d’extension variable, occupant parfois toute la surface alaire. Chenille : Atteint 25 mm de longueur. Brunâtre clair, avec la surface dorsale noire, parcourue par une ligne longitudinale blanche, et le corps entièrement couvert d’aigrettes de poils noirs et blancs entremêlés. Plantes hôtes : Sur les graminées, notamment la fétuque des brebis (Festuca agg. Ovina), mais aussi sur diverses plantes herbacées, entre autres sur la Bruyère commune (Calluna vulgaris), le Plantain lancéolé (Plantago lanceolata) et le Pissenlit dent-de-lion (Taraxacum officinale). Habitat : Dans les milieux ouverts, sablonneux ou rocailleux, chauds et secs. Espèce généralement localisée et peu abondante, en forte régression dans maintes régions. Biologie : Selon les régions, l’espèce donne une ou deux générations annuelles et présente un habitus variable, moins densément ponctué dans le Sud que dans le Nord. L’adulte, de moeurs nocturnes, n’enroule pas ses ailes au repos ; il se laisse facilement débusqué durant le jour. La ponte est déposée en manchon sur le chaume d’une graminée. La chenille hiverne, mais reste active par température hivernale douce ; elle semble préférer le feuillage flétri. La nymphose s’effectue parmi la végétation ou sous une pierre, à l’abri d’un cocon lâche. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

Paléarctique. Toute l’Europe sauf le Nord. Partout en France, jusqu’à 2000 m d’altitude. Elle se rencontre dans tous les milieux thermophiles, pelouses, bords de rivière sablonneux… La chenille, assez polyphage, se nourrit sur les Genista, Erica, Plantago et de nombreuses autres plantes basses. Vol : V-VII (VIII). Espèce univoltine, avec une seconde génération partielle. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

Mâle. Envergure : 25-42 mm. Aile antérieure très variable, ce qui a donné lieu à la description de « nombreuses sous-espèce » traitées ici comme simple formes. La forme nominative de Suède est blanche, avec trois lignes noirâtres transversales assez diffuses, à l’aile antérieure, avec une ombre terminale variablement développée. Aile postérieure blanchâtre, mais envahit de grisâtre. Thorax et abdomen blancs et marqués de noir2 Femelle. Envergure : 25-45 mm. Semblable au mâle, mais souvent plus marquée de foncé, surtout à l’aile postérieure. Variation. La f. candida Lempke, 1937, du Nord de la France et des régions voisines a des dessins estompés mais visibles pour l’essentiel. La f. arenaria Cyrilli, 1787, des Alpes, est presque toute blanche à l’aile antérieure, de même que la f. chrysocephala Hübner, 1804, du sud de l’Espagne et d’Afrique du Nord, dont la tête est nettement plus jaune. La f. vernetensis Oberthür, 1911, est largement envahit de grisâtre (Pyrénées-Orientales), la f. rippertii Boisduval,1834, des Pyrénées centrales l’est davantage. La f. bivittataSouth, 1900, de Grande-Bretagne (Hampshire, Dorset) présente des ombres longitudinales qui envahissent largement l’aile antérieure. La f. inquinata Rambur, 1858, du Sud-Ouest de la France est blanche à l’aile antérieure (avec deux petits points), et jaunâtre à la postérieure. La f. qudrifasciata Reisser, 1933, du Maroc, présente deux larges bandes transversales brunâtres. Souvent traitée comme espèce distincte, la f. benderi Marten, 1957, d’Espagne, est envahit de gris à l’aile antérieure, la côte exceptée. De nombreuses autres formes, d’intérêt restreint, ont été décrites. Espèce proche : Coscinia bifasciata (Rambur, 1832), de Corse et de Sardaigne uniquement (où C. cribaria n’est pas connu). Biologie. Chenille sur éricacées, genêts etc. Landes à bruyères boisées, du littoral à la montagne (jusqu’à 2000 m dans les Alpes, près de 3000m dans le Haut-Atlas). Aisément débusqué de jour. Période d’apparition. Mi-juin à début août au Nord, avril-fin juin puis juillet-novembre au Sud. Distribution. De l’Europe à l’Asie orientale ; Afrique du Nord. En Europe, du sud de l’Angleterre très localisé)et du sud de la Fennoscandinavie à la Sicile. En France, presque partout dans les biotopes adéquats ; absent de Corse. Statut. Assez commun, mais plutôt localisé. (NAP, Papillons de nuit d’Europe volume 1, Patrice Leraut)



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Drymonia ruficornis (Hufnagel, 1766)
Demi-Lune noire
Eurasiatique. Sa distribution s’étend du Maroc au Sud de la Scandinavie et de l’Europe occidentale au Caucase. En France, elle semble plus localisée que D. dodonaea du fait de sa préférence pour les régions boisées mieux exposées. Ses milieux de prédilection sont les chênaies chaudes. Diverses espèces de Quercus constituent les plantes-hôtes des chenilles au début de l’été. Période de vol : Mars à Juin. Espèce univoltine. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Eilema depressa (Esper, 1787)
Observation de Brigitte Seys - Premery (58) - 03/09/2013 Observation de Mr Joussain Jean-Michel - Périgueux (24) - 09/09/2011 Observation de Villatte Raymond - Condat sur Vienne (87) - 14/06/2011 Observation de Mme Blanc Josselyne - Ampuis (69) - 01/07/2011 (mâle) Observation de Mr Francoz Philippe - Albens (73) - 17/07/2004

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Eupithecia dodoneata (Guenée, 1857)
Eupithécie sagittée

Variable, elle est proche d’Eupithecia abbreviata, mais plus petite, avec un point discal souvent rond. Présente dans toute l’Europe moyenne et méditerranéenne. En France, deux populations se partagent le territoire : celle du Sud, qui est plus petite, aux dessins plus contrastés, adaptée à la chênaie méditerranéenne (ssp austrina, Herbulot) et plus au nord, une population adaptée à la chênaie tempérée. La ssp austrina est plus commune. Elle vole en compagnie de E. abbreviata, avec laquelle elle partage les mêmes habitats, mais de manière bien moins abondante. Préfère les endroits chauds, les bords des forêts abritées, le maquis. Chenille sur chênes (Quercus).

Période de vol : V-VI dans le Nord, IV-VI ; (IX). Espèce univoltine dans le nord ou bivoltine dans le Sud, avec parfois une troisième génération dans l’extrême Sud.



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Eupithecia irriguata (Hübner, 1813)
Eupithécie arrosée
Présente en Europe occidentale, centrale et septentrionale, des pays scandinaves au sud de l’Espagne. Partout en France, mais plus répandue dans le Sud. Caractéristique des hautes futaies de chênaies, des taillis ou plantations. Localisée dans les endroits chauds. Également en altitude. Chenille sur divers Quercus. Période de vol : Avril-Mai. Espèce univoltine. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Glyphipterix fuscoviridella (Haworth, 1828)
Observation de Joussain Jean-Michel - Périgueux (24) - 19/04/2011 Identification de Mr Cosson Alain
Observation de Mr Le Mao Patrick - Les Briantais Lancieux (22) - 09/05/2009

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Hyphoraia testudinaria (Fourcroy, 1785)
Ecaille civique, Ecaille des steppes

Atlanto-méditerranéenne. Localisée à l’Europe, des Pyrénées à l’Italie, en passant par le Sud et le Centre de la france. Elle se rencontre aussi bien dans des milieux thermophiles qu’hygrophiles. Vole essentiellement en fin de nuit, jusqu’à l’aube. La chenille vit sur diverses plantes basses. Vol : V-VI. Espèce univoltine très proche de H. aulica. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

Mâle. Envergure : 30-35 mm. Aile antérieure brun-roux, assez vif à marron, avec des macules jaunâtre clair, réunies en bandes au bord interne. Postérieure jaune, souvent largement lavée de rose vif, bande transversale antémédiane, tache discale et marge (fragmentée) noires. Femelle. Envergure : 33-42 mm. Semblable au mâle. Variation. L’aile postérieure peut être dépourvue de rose : f. crocea Schultz, 1908. Macules de l’aile antérieure réduites : f. perilypa Schawerda, 1927. Espèce proche : H. aulica (Linnaeus), aux dessins réduits à l’aile antérieure, à l’aile postérieure davantage marquée de noir, et aux genitalia distincts. Biologie. Chenille polyphage sur plantes basses. Jusqu’à 2000 m en montagne. Période d’apparition. Mai-juillet Distribution. Europe occidentale, du nord de l4espagne à la péninsule Italienne. Récemment signalé d’Angleterre (West Sussex, mai 2005), Devon, juin 2006. En France, des environs de Paris aux Alpes-Maritimes ; absent de Corse. Statut. Localisé, régresse dans l’aire septentrionale de son domaine. (NAP, Papillons de nuit d’Europe volume 1, Patrice Leraut)



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Lampropteryx suffumata (Denis & Schiffermüller, 1775)
Cidarie enfumée
Espèce paléarctique, elle occupe l’Europe, de l’Espagne à la Scandinavie et à l’Asie jusqu’au Kamtchatka. En France, présente sur les massifs montagneux et ponctuellement dans certaines stations froides de basse altitude. Absente du midi. Peu fréquent, le papillon vole en lisières forestières, sur les prairies humides. Il a une activité crépusculaire et vient par individu isolé à la lumière. Les chenilles vivent sur divers Gallium. La chrysalide hiverne. Période de vol : Juillet. Espèce univoltine. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Lopinga achine (Scopoli, 1763)
Bacchante
Diverses graminées
Observation Mme Rose Foissac, Thédirac (46), 17/06/2014 Observation Mme Rose Foissac (pendant une sortie avec la LPO Lot), Lavercantière (46), 22/06/2014 Observation de M. Joussain Jean-Michel - Perigueux (24) - 09/05/2011 Observation Mme Aarts Tineke (avec Mme Thomas Gisèle), La Bouriane, Lot (46), 23/06/2010 Observation Mme Aarts Tineke (avec des amis du forum !), La Brenne, Indre (36), 20/06/2010 Observation de Vogel Gérard - Boucq (54) - (...)

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Mimas tiliae (Linnaeus, 1758)
Sphinx du tilleul
Eurasiatique. Répandue en Europe jusqu’en Sibérie et en Asie Mineure, du nord de la Turquie au nord de l’Iran. Répandue dans toute la France continentale. La chenille se développe principalement sur des arbres comme : Tilia, Ulmus, plus rarement sur Alnus, Betula, Quercus et Prunus. Le papillon s’observe jusqu’à environ 1200 m. La coloration des ailes antérieures varie fortement, présentant des formes verdâtres ou brunes. Période de vol : Avril à Juin ; Août-Septembre. Espèce univoltine, avec parfois une seconde génération observée en plaine.

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Mythimna riparia (Rambur, 1829)
Leucanie riveraine
Graminées et Plantes basses
Observation Porteneuve Jean-Jacques - Lunel-Viel (34) - 08/09/2021 Observation Porteneuve Jean-Jacques - Lunel-Viel (34) - 22/06/2013 Observation Porteneuve Jean-Jacques - Lunel-Viel (34) - 05/06/2013 Observation de Joussain Jean-Michel - Périgueux (24) - 17/08/2011

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Nephopterix angustella (Hübner, 1796)
Observation de Joussain Jean-Marie - Périgueux (24) - 23/09/2011 Observation de Brigitte Seys - Carvin (62) - 22/06/2010 Observation de Francoz Philippe - Trévignin (73) - 13/05/2007

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Nola cicatricalis (Treitschke, 1835)
Cicatrice
Répartie en Europe moyenne, méridionale et orientale, du nord-est de la péninsule Ibérique jusqu’en Asie Mineure. En France, elle est localisé dans la moitié Sud-Est, des Pyrénées Orientales au Massif Central, aux Alpes et au Jura, jusqu’en Alsace ; présente également en Corse et en forêt de Fontainebleau. Très proche de N. confusalis avec laquelle elle peut être confondue, mais cette dernière est pourvue d’une tache sombre quadrangulaire au milieu de la côte des ailes antérieures qui permettra le plus souvent d’éviter la confusion. Elle fréquente les bois clairs, les chênaies et leurs abords ; les chenilles se nourrissent de lichens se développant sur les écorces des chênes et des hêtres. Période de vol : III-V ; VII-VIII. Espèce bivoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Notodonta ziczac (Linnaeus, 1758)
Bois-veiné
Paléarctique. Espèce à large distribution géographique, de l’Europe à l’Asie centrale. Répandue partout en France où elle atteint plus de 2000 m d’altitude. Présente dans une grande variété de milieux plus ou moins boisés et humides. Ses chenilles se nourrissent de Salix, Populus mais aussi de Quercus et Betula. Cocon assez léger dans la litière. Période de vol : Avril à Août. Espèce univoltine ou bivoltine suivant l’altitude. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Oegoconia caradjai (Popescu-Gorj & Capuse, 1965)
Sous réserves : Oegoconia deauratella, caradjai et quadripuncta ne pouvant être dissociés à coup sûr que par l’étude des genitalia

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Orthosia gothica (Linnaeus, 1758)
Gothique
Eurasiatique. Occupe toute l’Europe et la France, où elle est souvent commune. Hygrophile, elle se rencontre dans les milieux forestiers, les clairières et les prairies avoisinantes, s’observant jusqu’en haute montagne dans les pelouses. Comme de nombreuses espèces printanières, elle visite au crépuscule et en soirée les chatons des saules (notamment ceux du saule Marsault). La chenille, polyphage, se nourrit sur divers arbres et arbustes, mais aussi sur des plantes herbacées. Période de vol : Février à Mai. Espèce univoltine. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Panemeria tenebrata (Scopoli, 1763)
Noctuelle pyrale, Noctuelle héliaque
Ponto-méditerranéenne. Présente un peu partout en Europe. En France, elle est largement répandue, mais semble plus localisée sur le pourtour méditerranéen. Le statut de la ssp. jocosa, représentée dans le sud-est de la France et en Corse, n’est pas clair, certains auteurs la considérant comme une bonne espèce. Diurne, P. tenebrata passe facilement inaperçue, butinant aux heures les plus chaudes de la journée. On la rencontre dans les prairies mésophiles à mésohygrophiles fleuries de basse altitude et les milieux ouverts plus chauds et secs de moyenne altitude. La chenille vit aux dépens de Cerastium, Stellaria et Lythrum. Période de vol : Avril à Mai. Espèce univoltine. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Paradarisa consonaria (Hübner, 1799)
Boarmie du tilleul, Boarmie convenable

Géomètre à coloration variable, certaines formes peuvent être totalement obscurcies. Assez proche d’Ectropis crepuscularia. La forme typique possède un fond crème avec des bandes subterminales et antémédianes sombre, une tache noire au milieu de la ligne costale généralement plus marquée que chez E. crepuscularia ; de plus un petit trait noir est présent dans la cellule. Antennes du mâle finement pectinées. Largement répartie en Europe jusqu’en Sibérie. En France, elle est surtout connue des régions septentrionales et centrales. Le papillon, localisé, s’observe dans les bois de feuillus frais et humides jusque vers 1500m d’altitude. La chenille consomme diverses essences : Sorbier des oiseaux (Sorbus aucuparia), Aulne (Alnus), Chênes (Quercus). La chrysalide hiverne.

Période de vol : VI-VII. Espèce univoltine.



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Pseudeustrotia candidula (Denis & Schiffermüller, 1775)
Eustrotie claire

autre nom : Deltote candidula

Eurasiatique. En Europe, de la France à la Russie. Semble absente d’une grande partie du bassin méditerranéen. En France, elle est surtout présente dans le Nord et le Nord-Est, mais se rencontre également de manière localisé dans les Pyrénées, le Tarn, le nord de l’Auvergne, la Loire et dans les Alpes jusqu’au sud-est de l’Isère. à tendance hygrophile, elle affectionne les prairies mésophiles à humides, les lisières et clairières forestières à faible altitude.

La chenille se développe sur diverses graminées, Rumex et Polygonum.

Période de vol : V-VII ; VIII-IX. Espèce bivoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)



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Ptilocephala plumifera (Ochsenheimer, 1810)
Observation de Réjane Paquereau - La Rochebeaucourt-et-Argentine (24) - 23/03/2013 Observation de Michel Billard - Savoie (73) - 17/04/2011

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Pyroderces argyrogrammos (Zeller, 1847)
Envergure : 11-17 mm. Espèce cosmopolite présente en Europe centrale et du sud. Espèce bivoltine en IV-IX. Chenille dans les capitules de Carlina, Centaurea, Carduus.

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Rhyparia purpurata (Linnaeus, 1758)
Écaille pourprée, Écaille pourpre, Écaille mouchetée
Eurasiatique. Présente en Europe centrale et méridionale, non signalée de Corse. En France, autrefois répandue presque partout, l’espèce reste bien présente dans le Sud. Vole jusqu’à 1200 m d’altitude. Elle affectionne les landes et les garrigues chaudes et sèches. Active essentiellement après 2 heures du matin. La chenille vit aux dépens de nombreux arbustes et plantes basses. Période de vol : Juin-Juillet. Espèce habituellement univoltine. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Sabra harpagula (Esper, 1786)
Harpon
Chêne, Hêtre, Bouleau, Tilleul
Observation de Brigitte Seys - Sec Marais (59) - 17/05/2014 Observation de West Hazel et Ron - Louvie-Juzon (64) - 29/08/2013 Observation de Villatte Raymond - Thouron (87) - 27/05/2012 Observation de Joussain jean-michel - périgueux (24) - 13/08/2011 Observation de Brigitte Seys - Brevonnes (10) - 30/08/2011 Observation de Brigitte Seys - St Martin d’Auxy (71) - 31/08/2009 Observation de Mr Godet Laurent - Tréméreuc (22) - 24/07/2008 Observation de Mr Guyonnet Antoine - Forêt de l’Hermitain (79) - (...)

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Spatalia argentina (Denis & Schiffermüller, 1775)
Observation de Joussain Jean-Michel - Perigueux (24) - 30/07/2013 Observation de Joussain Jean-Michel - Perigueux (24) - 15/08/2012

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Viminia rumicis (Linnaeus, 1758)
Noctuelle de la Patience, Cendrée noirâtre
On la rencontre un peu partout en France. Peu exigeante écologiquement, on la rencontre dans divers milieux, principalement mésophiles, y compris jusqu’en zone urbaine. La chenille, polyphage, se nourrit de diverses plantes basses. Période de vol : Mars à Juin, puis Juillet à Septembre. Espèce bivoltine. (Guide des papillons nocturnes de France)

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Orgyia antiqua (Linnaeus, 1758)
Etoilée
Longueur maximale : 35 mm. Corps gris foncé, avec des verrues rougeâtres portant de longues soies blanc grisâtre. Sur chacun des quatre premiers segments abdominaux, une brosse dorsale constituée de poils bruns, jaunes ou ocre clair. Prothorax pourvu d’une paire de longs pinceaux noirs, dirigés vers l’avant ; En outre, deux petits pinceaux latéraux noirs, sur le deuxième segment abdominal. Flancs montrant, au niveau des stigmates, une ligne longitudinale blanche, discontinue. Tête d’un noir luisant. Les soies de cette chenille sont urticantes. (le guide des chenilles d’Europe)

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Aricia agestis (Denis & Schiffermüller, 1775)
Collier de corail
22-27 mm. 2-3 générations. Adulte : Ailes brun sombre satiné, généralement ornées d’une rangée marginale complète de taches rouge orangé. Revers beige clair avec des points noirs cernés de blanc et une bande marginale d’assez grandes taches orangées. Habitat : Pelouses sèches, vignes abandonnées, orées forestières ensoleillées, sablières. Répandu presque partout et assez abondant. Biologie : Les œufs sont déposés isolément sur les fleurs et les tiges de la plante hôte. La chenille ronge la face inférieure des feuilles dans son jeune âge, plus tard elle consomme les feuilles entières. L’espèce hiverne à l’état larvaire. Chenille : atteint 13 mm de longueur. Vert jaunâtre avec lignes latérale et dorsale rouges, cette dernière parfois absente. Plantes hôtes : Préférentiellement sur l’Hélianthème vulgaire mais également sur le Géranium fluet et le Bec-de-grue commun. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

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Brintesia circe (Fabricius, 1775)
Silène
Adulte : Noir, avec une bande discale blanche fractionnée vers l’apex des ailes antérieures. Revers de l’aile postérieure comparable à celui du Sylvandre mais avec une courte fascie post-basale blanchâtre s’étendant de la côte à la cellule. Chenille atteint 35 mm. Gris brunâtre clair, avec une bande dorsale sombre nettement délimitée et des bandes latérales moins foncées. Capsule céphalique portant six bandes sombres très contrastées. Plantes hôtes : Brome dressé, Fétuque des brebis et quelques autres graminées Habitat : Pelouses sèches limitrophes de lisères forestières. Espèce méditerranéenne en extension vers le nord. Biologie : L’espèce ne donne qu’une génération annuelle ; elle visite les fleurs. Les oeufs sont dispersés en vol. La jeune chenille hiverne. La nymphose s’effectue dans une loge souterraine.(Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

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Cataclysme riguata (Hübner, [1813])
Veinée
Très localisée dans le Nord, elle devient plus commune dans le sud de la France. Elle se rencontre plus fréquemment dans l’étage collinéen. Le papillon habite les friches rocailleuses bien exposées. La chenille vit sur le Caille-lait jaune(Galium verum). Période de vol V-VI ; VII-VIII. Espèce bivoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Dysgonia algira (Linnaeus, 1767)
Passagère
Méditerranéo-asiatique. Présente dans la moitié sud de l’Europe, et à l’Est jusqu’au nord du bassin de la mer Noire. En France, on la rencontre migratrice un peu partout, bien que localisée dans la partie Nord. Elle affectionne les milieux forestiers et les lisières, y compris en zone urbaine. La chenille est polyphage et se développe sur (Rubus, Salix, Genista,…). Période de vol : V-IX. Espèce bivoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Eupithecia abbreviata (Stephens, 1831)
Eupithécie printanière
En Europe, occidentale, centrale et méridionale. Toute la France sauf en Corse. Affectionne les clairières et lisières des forêts mixtes, les allées forestières, le maquis. Répandue, on peut parfois la découvrir le jour difficilement à cause de son camouflage, les ailes étendues sur les troncs. Vient en nombre à la lumière. La chenille se développe sur divers chênes (Quercus). Période de vol (II) IV (V) Espèce univoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Hipparchia fagi (Scopoli, 1763)
Sylvandre
En dépit de sa grande taille, le sylvandre peut être difficile à repérer au repos, le verso de ses ailes postérieures offrant un excellent camouflage sur son support. Le recto brun fuligineux présente une large bande claire qui traverse chaque aile. Chez le mâle, cette bande est diffuse et dotée d’un unique ocelle ; celle de la femelle est claire, avec deux ocelles. Vit dans les bois clairs et autres lieux ensoleillés arborés, surtout à faible altitude. Vol : Juillet-août. (Nature en poche - Larousse)

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Idaea filicata (Hübner, 1799)
Phalène rustique du Midi
Méditerranéenne, elle est répandue dans le Sud de la France et remonte la vallée du Rhône. Dans les montagnes de Corse vole la sous-espèce levequei qui est plus claire. Souvent très abondante à la lumière. La chenille se nourrit certainement des feuilles sèches de nombreuses plantes. A été observée sur divers Dianthus et Veronica. Période de vol IV-X. Espèce plurivoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Idaea ochrata (Scopoli, 1763)
Acidalie ocreuse, Phalène ocreuse
Du sud de l’Europe, abondante et bien implantée dans toute la France. Se rencontre dans les sites ouverts desquels on la fait s’envoler facilement pendant la journée. La chenille, polyphage, se nourrit sur de nombreuses plantes dont elle mange les feuilles sèches ou les pétales : Vicia, Potentilla, Festuca, Rubus…Période de vol VI-VII. Espèce univoltine. (Delachaux et Niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Inachis io (Linnaeus, 1758)
Paon du jour
Les ocelles spectaculaires et la couleur criarde du paon du jour le rendent sans pareil. Comme d’autres vanesses colorées, c’est un visiteur fréquent des jardins où il vient butiner, notamment les fleurs de buddleias et les Mesembryanthemum. Au repos, les ailes repliées, la coloration cryptique du verso et le bord découpé des ailes donnent au papillon l’aspect d’une feuille morte ou d’une écorce, tel un excellent camouflage. Inquiété, le paon du jour ouvre brusquement ses ailes, dévoilant ainsi ses ocelles qui effraient les prédateurs potentiels. Fréquente les bords des chemins, les haies, les talus, les prairies, les jardins et les parcs. Vol : Juillet à Septembre, puis Mars à Mai après hivernage. (Nature en poche - Larousse)

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Lasiocampa quercus (Linnaeus, 1758)
Bombyx du chêne, Bombyx du genêt, Minime à bande jaune
Adulte : Coloration très variable, dans les deux sexes, selon les individus. Mâle ordinairement brun châtain sombre et chaud, orné d’une bande postmédiane jaune d’or, et, aux antérieures, d’un point discoïdal blanc. Teinte de la femelle oscillant du jaune ochracé au brun jaune pâle, avec la bande plus diffuse. Plante – hôte : diverses plantes buissonnantes ou suffrutescentes, notamment sur prunellier, ronce, genêt à balais, myrtillier, airelle des marais, et bruyère commune ; beaucoup plus rarement sur les chênes, en dépit des noms vulgaires et scientifiques de l’espèce. Chenille : atteint 80 mm. Dans son jeune âge, noire avec des taches dorsales rhomboïdes fauve jaunâtre, ; mature, pourvue d’une ligne latérale blanche discontinue, de touffes dorsales denses de poils gris brunâtre, avec les espaces intersegmentaires noirs. Habitat : Dans les bois clairs et zones marécageuses. Jadis banal, de nos jours semble accuser une certaine régression. Biotopes variés, de la plaine à la montagne, de la lande à la forêt. Biologie : 1 génération. Le mâle d’activité diurne, se déplace d’un vol très vif à la recherche de la femelle qui est essentiellement nocturne. Celle-ci disperse les œufs en vol. Les jeunes chenilles à la livrée bariolée, s’observent facilement jusqu’en octobre sur les buissons. Après l’hivernage, elles reprennent leur croissance jusqu’au début de juin, puis se nymphosent au sol dans un cocon ovoïde, résistant de consistance parcheminée. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann) Répartition : Eurasiatique, Toute l’Europe, partout en France, jusqu’à 2000 m Chenille polyphage, se développe principalement sur Crataegus, genista, rubus, prunus, vaccinium, calluna, salix, quercus, alnus, betula. Elle hiverne et termine sa croissance au printemps.(Guide des papillons nocturnes de france/Delachaux Niestlé)

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Lithophane ornitopus (Hufnagel, 1766)
Xyline du chêne, Nébuleuse
Eurasiatique. Présente dans presque toute l’Europe, excepté le sud de la péninsule Ibérique et les pays nordiques. En France, on la rencontre un peu partout. Elle est étroitement liée aux forêts de feuillus. La chenille se nourrit de Quercus, Ulmus, Prunus, Populus, Salix. Période de vol : Septembre à Avril. Espèce univoltine, l’adulte hiverne et vole de nouveau au printemps. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Macroglossum stellatarum (Linnaeus, 1758)
Moro-sphinx, Sphinx du caille-lait, Oiseau-mouche
Ce papillon à vol diurne, relativement petit pour un sphingidae, ressemble à un oiseau-mouche lorsqu’il fait du sur place devant les fleurs pour butiner. Originaire du sud de l’Europe, il s’y reproduit toute l’année et migre plus ou moins vers le nord chaque année, parfois jusqu’en Suède. (Nature en poche - Larousse) Vol : surtout d’Avril à Novembre.

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Opisthograptis luteolata (Linnaeus, 1758)
Citronnelle rouillée, Phalène de l’Alisier

Adulte : 32-37 mm Jaune citron. Aux ailes antérieures deux petites taches costales rouille, la disco-cellulaire pupillée de blanc Chenille : atteint 33 mm. Assez ramassée, vert grisâtre ou brun grisâtre, avec un tubercule rouge marqué sur le sixième segment. Plantes hôtes : Sur de nombreux feuillus : Aubépine à un style (Crataegusmonogyna), Prunellier (Prunus spinosa), Saule marsault (Salix caprea), Camérisier à balais (lonicera xylosteum), et Coudrier noisetier Corylusavellana). Habitat : Forêts et milieux ouverts. Espèce encore commune partout. Biologie : L’espèce donne deux générations annuelles et hiverne à l’état nymphal. La chenille dispose d’un camouflage très efficace. La chrysalide repose à terre dans un cocon blanchâtre assez résistant. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

Largement répartie en Europe. En France, est présente partout et fréquente de nombreux types d’habitats : bois, parcs, jardins, prairies. Commune, vient à la lumière, mais se rencontre également en journée. Polyphages, les chenilles vivent sur diverses essences telles que (Crataegus, Prunus, Corylus, Sorbus, Rosa, Lonicera, Acer, Tilia, Salix, Caprea). Hiverne au stade de l’oeuf. Période de vol : IV-VI ; VIII-IX. Espèce bivoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)



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Orthosia cerasi (Fabricius, 1775)
Orthosie du Cerisier, Noctuelle constante, Téniocampe constante

Ailes antérieures brun canelle assez pâle, avec une ligne submarginale claire ; contours des tâches orbiculaire et réniforme très finement soulignés de clair. (quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

En France, elle est largement répandue. Il s’agit probablement de la plus fréquente des Orthosia. Ressemblant à O. gracilis, elle est plus petite, de forme générale plus arrondie, l’orbiculaire et la réniforme, très rapprochées, se touchent dans bien des cas. Moins hygrophile que ses congénères, elle se rencontre dans de nombreux milieux boisés, même en ville. la chenille, polyphage, se développe sur divers arbres (Quercus, Salix, Ulmus, Fagus) où il est facile de l’observer à la fin du printemps. Période de vol : Février à Mai. Espèce univoltine. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)



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Pieris rapae (Linnaeus, 1758)
Piéride de la rave
40-50 mm. Ressemble à la Piéride du chou, mais plus petit, avec bordure apicale des ailes antérieures moins étendue. Mâle pourvu d’un petit point discal noir, Revers jaunâtre dans les deux sexes. Habitat : Jardins et cultures maraîchères. De loin le Rhopalocère le plus commun. Biologie : 4 générations. Œufs verdâtre pâle, déposés isolément. Plantes hôtes : Crucifères : Chou potager, Colza, Moutarde des champs, Ravenelle, Alliaire officinale, en outre : Réséda jaune, Grande Capucine. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann) Vol : Avril à Octobre

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Plagodis dolabraria (Linnaeus, 1767)
Doloire, Phalène linéolée
Adulte : Brun-jaune clair, densément ornée de fines stries transversales noires ; une tache bleu-noir près de l’angle externe aux deux paires d’ailes, nettement plus petite aux antérieures. Chenille : Atteint 30 mm. Ressemble à un rameau sec. Brun foncé, avec un tubercule marqué sur le huitième segment Plantes Hôtes : Sur divers feuillus, en particulier sur le Chêne pédonculé (Quercus robur), le Hêtre commun (Fagus sylvatica), le Tilleul d’hiver (Tilia cordata) et le Prunellier (Prunus spinosa). Habitat : Avant tout dans les forêts de feuillus, ainsi que sur les pentes broussailleuses et dans les jardins. Espèce encore assez commune presque partout. Biologie : L’espèce ne donne ordinairement qu’une génération, occasionnellement une seconde génération partielle à la fin de l’été. La chenille, figée durant le jour dans une position oblique, très homotypique, est difficile à découvrir. La chrysalide repose à terre dans un cocon lâche ; elle hiverne. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann) Répandue à travers l’Europe, De l’Espagne aux Balkans, puis à travers l’Asie, jusqu’en Extrême-Orient. Assez localisée en France. Elle fréquente les bois de feuillus plutôt humides. Les chenilles se développent sur divers arbres tels que les (Quercus, Ulmus, Lonicera, Tilia, Sorbus, Prunus). La chrysalide hiverne. Période de vol : V-VIII. Espèce univoltine ou bivoltine en fonction des régions et des sites. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Poecilocampa populi (Linnaeus, 1758)
Bombyx du peuplier
Feuillus
Observation de Joussain Jean-Michel - Périgueux (24) - 22/11/2011 Observation de Le Mao Patrick - Trémereuc (22) - 03/01/2010 Observation de Le Mao Patrick - Trémereuc (22) - 27/12/2009 Observation de Francoz Philippe - Trévignin (73) - 20/10/2009 Observation de Mr Godet Laurent - Tréméreuc (22) - 03/12/2008 Observation Mme Aarts Tineke - Catus (46) - 01/12/2007

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Pseudopanthera macularia (Linnaeus, 1758)
Panthère
Adulte : Jaune bouton d’or, orné de taches brun-noir chatoyant en violet, partiellement alignées en bandes. Chenille : Atteint 25 mm. Verte avec une ligne dorsale sombre, plusieurs fines lignes blanches légèrement sinueuses et une bande stigmatale blanche Plantes Hôtes : Sur diverses plantes basses, entre autres sur le Lamier tacheté (Lamium maculatum), l’épaire droite (Stachys recta), la Bugrane épineuse (Ononis spinosa), et la Menthe sylvestre (Mentha longifolia). Habitat : Le long des orées forestières ensoleillées et dans les prés bois sur sol calcaires ou sablonneux. Espèce en général assez commune, mais localisée. Biologie : L’adulte de mœurs diurnes, visite activement les fleurs. L’espèce ne donne qu’une génération annuelle. La chrysalide repose au sol dans un cocon mêlé de particule de terre ; elle hiverne. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann) Occupe toute l’Europe, de l’Espagne aux Caucase. Elle est présente partout en France. Des formes différentes peuvent être observées : celle de Normandie avec des taches importantes, celles de certaines montagnes du midi avec des taches très discrètes et un fond orangé, celle de haute altitude au fond jaune paille… On la rencontre facilement le jour dans les bois clairs, lisières, haies.Se posent souvent sur les flaques d’eau des chemins. Les chenilles vivent sur divers (Lamium, Teucrium, Mentha, Salvia). La chrysalide hiverne. Période de vol : III-VII. Espèce univoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Stegania trimaculata (Villers, 1789)
Stéganie du peuplier
A fond blanc-crème, caractérisée par la présence de trois taches noires sur la côte. Cette espèce est répartie en Europe centrale et méridionale, puis en Asie centrale. Répandue principalement dans les milieux humides, ripisylve, bords des rivières. Les chenilles vivent aux dépens de Peupliers (neige et noir d’Italie) (Populus alba et nigra). La chrysalide hiverne. Période de vol : IV-V ; VII-VIII. Espèce bivoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Thalpophila matura (Hufnagel, 1766)
Noctuelle cythérée
Méditerranéo-asiatique. Largement répandue en France et en Europe. Dans le Sud, T. vitalba s’en distingue par des lignes blanches longitudinales dans l’espace médian et par les postérieures plus pâles. À tendance thermophile, elle occupe les milieux prairiaux, les pelouses et les clairières sèches. La chenille hiverne et se développe sur les graminées. Période de vol VI-IX. Espèce univoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau).

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Watsonalla binaria (Hufnagel, 1767)
Hameçon, Binaire
Eurasiatique. Europe moyenne et méditerranéenne, sauf le Portugal. Partout en France. Affectionne les bois clairs, bien exposés, plantés de chênes (Qercus robur notamment) et de bouleaux Betula sur lesquels se développent les chenilles. Période de vol : Avril à Septembre. Espèce bivoltine. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Xanthorhoe fluctuata (Linnaeus, 1758)
Phalène ondée, Incertaine
On distingue la phalène ondée des autres géomètres par la tache foncée qui traverse l’aile antérieure mais s’arrête à mi-chemin. Cette espèce commune, même en milieu suburbain, peut s’observer sur les murs, les arbres ou les palissades durant la journée. Elle vole au crépuscule et est attirée par la lumière. LAROUSSE " Nature en poche" Papillons Occupe toute l’Europe ; l’espèce est présente partout en France, c’est un des géomètres les plus communs. Il se rencontre souvent posé sur les murs, même en ville, dans les zones de jardins. Préfère les endroits bien exposés Le papillon s’envole facilement lorsqu’il est dérangé le jour, vole au crépuscule et vient à la lumière. Les chenilles se développent sur diverses plantes basses, notamment des crucifères… Période de vol III-IX. Espèce bivoltine ou trivoltine suivant les régions. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Agrius convolvuli (Linnaeus, 1758)
Sphinx du Liseron, Sphinx à cornes de boeuf

Adulte : 8 à 12 cm d’envergure. Ailes antérieures gris brunâtre ornées de motifs complexes à base de stries longitudinales et de taches ; ailes postérieures marquées de bandes transversales sombres. Abdomen rose vif, annelé de noir. Trompe atteignant 8 à 10 cm, et même parfois 13 de longueur.

Chenille : Atteint 12 cm. De teinte très variable. Généralement brune, avec des stries obliques blanchâtres bordées de sombre du côté supérieur, et la face ventrale foncée, mais aussi fréquemment vert pâle, avec des stries obliques claires et des rangées de points noirs, voire presque entièrement noire avec des bandes longitudinales latérales jaune ochracé. La corne abdominale, falquée, est jaune avec l’apex noir dans les deux premières variétés chromatique, noire dans la troisième.

Plantes hôtes : En Europe, la chenille se développe essentiellement sur le Liseron des champs (convolvulus arvensis) et le Liseron des haies (Calystegia sepium), et, plus occasionnellement, sur d’autres convolvulacées cultivées comme plantes ornementales. Hors d’Europe, sur ses terres d’origine, elle vit sur la patate douce et, plus rarement, sur les haricots.

Habitat : Largement répandu dans les régions tropicales et subtropicales d’Afrique et d’Asie, ainsi qu’en Australie. En Europe, n’est autochtone que dans l’extrême Sud (Sicile, Crète, sud du Péloponnèse) ; plus au nord, exclusivement représenté par des sujets migrateurs dont l’abondance varie selon les années en fonction des flux migratoires.

Biologie : L’adulte, essentiellement crépusculaire et nocturne, se dissimule durant la journée contre les troncs et les parois rocheuses, où sa livrée homotypique lui assure un camouflage efficace, en dépit de sa grande taille. A la tombée de la nuit, mais parfois dès la fin de l’après-midi, il butine en vol stationnaire sur les fleurs à profonde corolle tubuleuse, notamment sur celles des Tabacs, Plox, Pétunias, Stramoines, ou Saponaires, qu’il explore grâce à sa trompe démesurément longue. Attiré par les éclairages urbains, il vient tournoyer autour des réverbères, où il est souvent confondu avec une chauve-souris. Grâce à ses formes particulièrement aérodynamiques, il compte parmi les plus puissants volateurs de l’ordre des Lépidoptères. Sa vitesse de croisière, sur de courtes distances, peut dépasser 100km/h, et sur les longs trajets, se maintient autour de 50km/h. Cette capacité de vol soutenu lui permet de partir de son principal réservoir, le continent africain, notamment en présence de courants aériens favorables , de franchir sans peine la Méditerranée, puis les Alpes et de se répandre à travers toute l’Europe, souvent jusqu’en Scandinavie. Les individus migrateurs voyagent par petits groupes. Une première vague migratoire quitte l’Afrique dès la mi-avril, atteignant le Nord de la France dès la mi-mai. La vague la plus abondante déferle en juin et peut se prolonger jusqu’en juillet. En cours de migrations, les femelles déposent leurs œufs dès qu’elles rencontrent un milieu favorable abritant des liserons (bermes de chemins et cultures céréalières, par exemple). La ponte peut renfermer jusqu’à mille œufs ; la taille de ces derniers est très faible (environ 1 mm), comparativement à celle du papillon. La chenille grâce à sa robe discrète, jouit d’un camouflage efficace. On ne l’observe guère qu’à l’époque de l’errance de prénymphose, lorsqu’elle traverse routes et chemins à la recherche d’un abri convenable. Elle finit par s’enfouir et aménager une loge souterraine ovoïde, de la taille d’un œuf de poule, dans laquelle elle se transforme, de dix à quinze jours plus tard, en une chrysalide longue de 5 à 6 cm. Grâce au fourreau libre et contourné en spirale qui abrite sa longue trompe, cette chrysalide se distingue aisément des nymphes de toutes les autres espèces européennes des sphingides. En présente de conditions météorologiques favorables, les premiers imagos peuvent émerger chez nous dès le mois de juillet. Cependant, lorsque le cycle larvaire se prolonge trop tard en saison, la nymphose n’a lieu qu’en septembre, et les chrysalides sont dès lors condamnées à périr durant les froids hivernaux. Les individus nés sur le sol européen effectuent, pour partie seulement, une migration de retour, s’envolant vers l’Afrique. L’élevage de cette espèce est aisé. Pour obtenir l’accouplement des sujets nés en captivité, il est nécessaire de les nourrir avec une solution miellée (miel dilué à 1/10). Pour ce faire, on déroule la trompe de l’animal au moyen d’une pince fine et on en plonge l’extrémité dans une coupelle contenant la solution aqueuse. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

Afrotropicale. Répartie jusqu’en Papouasie, migratrice en Europe jusqu’en Scandinavie. Répandue dans toute la France continentale où elle se reproduit ainsi qu’en Corse. La chenille se développe principalement sur Convolvulus arvensis et Ipomea ; et sur Rumex, Impatiens, Chrysanthenum et Helianthus. Le papillon s’observe dès le crépuscule, sur les fleurs des jardins et des prairies. Période de vol : VI-IX. Espèce bivoltine, plus fréquente en seconde génération. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

Mâle. Envergure : 85-110 mm. L’aile antérieure, à apex pointu, est gris brunâtre, avec des stries noires longitudinales et des sinuosités blanchâtres et transversales peu distinctes. La postérieure présente une série de lignes noirâtres et concentriques sur fond plus clair. L’abdomen est de façon caractéristique annelé de noir et de rose vif, avec une ligne médiane gris brunâtre.

Femelle. Envergure : 90-115 mm. Semblable, mais aile antérieure moins contastée.

Variation. F. virgata Tutt, 1904 : aire médiane de l’aile antérieure plus foncée. Forme variegata Tutt, 1904 : aires basale et terminale envahies de blanc. Forme obscurata Tutt, 1904 : assombrissement des quatre ailes. Forme alicea Neuburger, 1899, abdomen brun doré (et non gris), lignes transversales jaune doré (et non rouges). Espèce proche : aucune en Europe.

Biologie. Plantes-hôtes : surtout les liserons (dont Convolvulus arvensis). Tous types de biotopes, y compris en ville, puisqu’il s’agit d’un migrateur. Observé jusqu’à 2800 m d’altitude. Vole au crépuscule pour butiner les corolles du tabac, du pétunia, du phlox de la saponaire et du buddléia. Ce grand migrateur revient en Europe chaque année à la saison chaude. Il se reproduit sur place mais ne résiste pas à l’hiver. C’est l’un des papillons les plus rapides en vol (il peut dépasser les 50k m/h). Période d’apparition de mai à novembre.

Distribution. Presque mondiale (sauf vers les pôles). Grand migrateur qui atteint l’Europe chaque année (en quantité variable) et qui remonte parfois en petit nombre jusqu’au grand nord. Statut. Migrateur assez régulier.

Remarque. Agrius cingulatus (fabricius), espèce très proche d’Amérique, a été signalé récemment au Portugal. (NAP, Papillons de nuit d’Europe volume 1, Patrice Leraut)



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