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Euclidia glyphica (Linnaeus, 1758)
Doublure jaune

Adulte : Ailes antérieures brun moyen, ornées de trois bandes transversales (basilaire, postdiscale, marginale) et d’une tache costale pré-apicale triangulaire brun foncé. Ailes postérieures jaune orangé, rehaussées de bandes brun foncé.

Chenille : Atteint 40 mm de longueur. Ressemble à celle du M noir, mais avec une paire supplémentaire de fausses pattes, vestigiale, du côté antérieur. Brun jaunâtre, avec de fines lignes longitudinales sombres et une bande latérale claire.

Plantes hôtes : Sur diverses Papilionacées, dont la Luzerne cultivée (Medicago sativa), le Lotier corniculé (Lotus corniculatus), la Jarosse (Vicia Cracca), le Trèfle des prés (Trifolium pratense), la Gesse des prés (Lathyrus pratensis) et l’Hippocrépide à toupet (Hippocrepis comosa).

Habitat : Milieux ouverts secs ou humides, entre autres prairies marécageuses, alpages fleuris, pelouses sèches.

Biologie : L’espèce donne deux générations annuelles et hiverne à l’état nymphal. L’adulte observe le même comportement diurne que celui du M noir (butine en plein soleil, ailes entrouvertes, et cesse toute activité dès la tombée de la nuit ; très farouche). Les œufs sont déposés en rangées sur les feuilles de la plante hôte, et parfois sur les feuilles sèches des Graminées. La chenille se comporte comme celle de l’espèce précédente, M noir (Active de jour comme de nuit, se déplace à la manière des larves de géomètres, mais se distingue aisément de celle-ci grâce au nombre de fausses pattes. Entre les prises de nourriture elle s’applique souvent sur les chaumes des Graminées ou les tiges de plantes appartenant à diverses familles botaniques, habitude sans doute à l’origine de la mention erronée, dans la littérature, de plantes hôtes autres que les Papilionacées. Très sensible aux vibrations, elle se laisse tomber à terre au moindre effleurement, s’enroulant étroitement sur elle-même). La nymphose s’effectue à terre. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

Eurasiatique. Présente dans toute l’Europe. Comme E. mi (M noir), elle est largement répandue en France. Moins xérophile que celle-ci, elle occupe les prairies sèches à mésophiles où elle peut pulluler certaines années, les clairières. La chenille est également polyphage et se nourrit de diverses plantes basses, dont (Trifolium, Vicia, Lotus, Lathyrus). Période de vol : IV-VI ; VII-VIII. Espèce bivoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)



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Macrothylacia rubi (Linnaeus, 1758)
Anneau du diable, Bombyx de la ronce
Les chenilles hivernent et se nymphosent au printemps. En automne, on les rencontre souvent sur les chemins, à la recherche d’un abri. Les mâles volent au soleil, les femelles la nuit en Mai et Juin. (Guide des papillons nocturnes de France)

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Melanargia galathea (Linnaeus, 1758)
Demi-Deuil
Adulte : Blanc et noir en damier. Revers avec les même motifs mais beaucoup moins contrastés, et une rangée postdiscale de petits ocelles. Femelle plus grande, avec revers teinté d’ocre jaune. Plante – hôte : comme les chenilles de tous les Satyrines se nourrit exclusivement de graminées ; Palène, Brome dressé, Pâturin des prés. Chenille : Atteint 28 mm. Verte ou brun jaune à brun grisâtre, avec la tête brun clair, une ligne dorsale sombre et une bande latérale claire, soulignée de foncé. Extrémité abdominale bifide, avec chacune des pointes ornée d’une strie rougeâtre sur le dessus. Habitat : Prairies, clairières, talus, bords des routes… abondantes presque partout mais en régression au nord de la Seine. Biologie : Le mâle du Demi-deuil, contrairement à ceux de nombreux autres Rhopalocères, ne guette pas le passage des femelles depuis un perchoir, mais recherche activement en vol celles qui viennent d’émerger parmi les Graminées. Les œufs sont simplement abandonnés en vol par la femelle. La chenille éclos dès la fin de l’été et cherche aussitôt un abri pour l’hivernage, sans avoir pris la moindre nourriture. Elle accomplit son cycle au printemps, puis se nymphose à proximité du sol. La chrysalide, blanchâtre ou jaune, repose à l’abri d’un réseau soyeux lâche. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

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Leptidea sinapis (Linnaeus, 1758)
Piéride du Lotier, Piéride de la moutarde
36-48 mm. 2-3 générations. Plus petite et plus fragile que les autres piérides. Vol près du sol dans les clairières et les abords des bois. 2ème génération plus blanche, taches apicales plus noires. (Octopus. Tous les papillons de France et d’Europe. P. Whalley) 30-40 mm. D’aspect fragile, avec l’abdomen gracile. Aile antérieure pourvue d’une tache apicale gris noirâtre chez le mâle, gris pâle ou imperceptible (voir absente) chez la femelle. Revers des ailes postérieures avec 2 bandes transversales grises, diffuses. Habitat : bois clairs, orées forestières, bords des chemins, prairies naturelles. Biologie : à la différence de celle du genre Pieris, les piérides du genre Lepyidea vivent exclusivement sur les Papilionacées. De ce fait, l’ancien nom de piéride de la moutarde couramment usité pour cette espèce, simple traduction de son nom scientifique, est totalement impropre, et son emploi devrait à tout prix être évité (le remplacement du nom scientifique, tout aussi inexact, n’est pas autorisé par les règles du Code de nomenclature). Chez cette espèce, la parade nuptiale est particulièrement caractéristique. Le mâle se place face à sa partenaire, dodeline de la tête, déroule sa trompe et la passe autour de la tête de la femelle. Si cette dernière est réceptive, elle oriente son abdomen en direction du mâle, qui procède à l’accouplement. Les femelles ne s’accouplent qu’une fois. Les œufs sont déposés isolément sur la plante hôte. Avant la ponte, la femelle gratte l’épiderme foliaire de la plante avec ses griffes et teste la sève, manifestement pour s’assurer que le végétal convient au développement de sa descendance. L’espèce donne 2 ou 3 générations annuelles et hiverne à l’état nymphal. PN : Papilionacées : Lotier corniculé, Coronille bigarrée, Jarosse, Gesse des prés. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

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Polygonia c-album (Linnaeus, 1758)
Robert-le-diable

C’est l’un des papillons d’Europe les plus caractéristiques. La couleur et la forme des ailes au bord découpé permettent de le reconnaître, même en silhouette. Le verso foncé orné d’un dessin blanc en forme de gamma contraste avec le recto orange. Se rencontre dans une grande variété de d’habitats fleuris, talus, lisières, champs et jardins. Vol : Mars à Septembre en deux générations (la deuxième hivernant). (Nature en poche - Larousse)

Adulte : Ailes à bords profondément excavés, fauve orangé vif maculées de noir, de brun ferrugineux et de jaunâtre. Revers brun foncé ou brun jaunâtre clair, avec une tache discoïdale blanc nacré en forme de « C » aux ailes postérieures. Plante – hôte : Préférentiellement sur le Saule marsault et l’Ortie dioïque, mais aussi sur le Coudrier noisetier, l’Orme de montagne, le Houblon grimpant et le Groseillier épineux. Chenille : Fauve orangée vif avec des dessins noirs et la moitié postérieure de la face dorsale blanc de neige. Habitat : Forêts claires, orées forestières, vergers. Espèce commune presque partout. Biologie : Les œufs sont déposés isolément sur les feuilles de la plante hôte. La chenille très bariolée se dissimule durant la journée à la face inférieure des feuilles. La chrysalide présente une morphologie très particulière : fortement étranglée dans sa partie médiane, elle est pourvue d’une gibbosité dorsale et de six taches médianes à vif éclat métallique. Les adultes naissant au début de l’été présente d’ordinaire un revers clair, leurs descendants (seconde génération) présentent un revers sombre ; ils hivernent et se reproduisent au printemps suivant. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)



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Polyommatus icarus (Rottemburg, 1775)
Azuré de la bugrane, Azuré commun
C’est l’un des papillons les plus communs dans nos régions et il fréquente la plupart des prairies naturelles et semi-naturelles. Localement, les bonnes années, il peut même être très abondant. Malgré une certaine variabilité, la plupart des mâles ont un recto bleu nuancé de violet. Celui de la femelle est brun, avec des macules orange et une sulfurisation bleu-violet à la base des ailes d’étendue variable. Le revers des deux sexes est gris-brun avec des macules oranges et des points noirs cernés de blanc. Se rencontre dans une grande variété de lieux, de la plaine jusqu’à plus de 2000 m, partout où ses plantes-hôtes abondent. Plantes hôtes : Lotier, Fabacées. Vol : Avril à octobre, en générations successives. (Nature en poche - Larousse)

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Calliteara pudibunda (Linnaeus, 1758)
Patte étendue, Pudibonde
Atteint 50 mm de longueur. pourvue d’une pilosité longue et dense ; face dorsale portant des pinceaux de poils en forme de blaireau sur les segments 4 à 7, ainsi qu’un autre, étroit et allongé, sur le onzième segment. Teinte variable, soit jaune verdâtre ou jaune, avec les pinceaux anterieurs jaunes ou blancs, soit beige rosâtre, avec les pinceaux anterieurs rose blanchâtre ; pinceau posterieur variant du rouge au noir. Guide nature "Quel est donc ce papillon ? Nathan

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Acherontia atropos (Linnaeus, 1758)
Sphinx tête de mort
Olivier, Lilas, Catalpa, Datura, Pommes de terre, Jasmin, Buddleia, Aubergine, Frêne
Observation de Filomenko Madeleine - Ahuy (21) - 21/07/2016 Observation de Sérieys Claude - Gémenos (13) - 19/07/2016 Observation de Bigot Jean-Marc - Tours (37) - 13/08/2015 Observation de Bigot Jean-Marc - Tours (37) - 30/07/2015 Observation de Tashan Michel - Gap (05) - 09/08/2013 Observation de Georges Gwénaël - Yvré l’Evèque (72) - 31/07/2013 Observation de Madame Golé Mireille - Lavercantière (46)- 18/07/2013 sur Pomme de terre Observation Porteneuve Jean-Jacques - Lunel-Viel (34) - 15/11/2012 (...)

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Aetheria bicolorata (Hufnagel, 1766)
Observation de Billard Michel - Saint-Alban Leysse (73) - 28/05/2010 Sur Epervière (jachere située au milieu d’un bois sur un plateau calcaire)
Observation de Mme Konik Edith - Vienne en arthies (95) - 20/09/2008

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Phigalia pilosaria (Denis & Schiffermüller, 1775)
Phalène velue
Longueur maximale : 38 mm. Région antérieure du thorax plus étroite que l’abdomen. Corps brun grisâtre ou brun verdâtre, avec des taches rousses et, parfois, des macules noirâtres. Soies issues de petites protubérances coniques. Celles-ci sont plus importantes sur les segments abdominaux 2, 3 et 8. Tête grisâtre ou brun verdâtre. (guide des chenilles d’Europe)

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Arctia caja (Linnaeus, 1758)
Ecaille-martre, Hérissonne
Longueur maximale : 60 mm. Corps brun noir, avec des touffes de soies serrées, issues de petites verrues en relief. La plupart des soies sont longues, noires et pourvues d’une zone apicale d’un blanc grisâtre ; toutefois, le thorax et la région ventrale de l’abdomen possèdent des soies rousses, relativement plus courtes. Stigmates blancs. Tête d’un noir luisant. (guide des chenilles d’Europe)

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Euplagia quadripunctaria (Poda, 1761)
Ecaille chinée, Callimorphe

Partout en France, dans les bordures, allées et chemins forestiers, parcs et jardins, zones urbanisées. Activité diurne. Forme lutescens au Nord-ouest de la France. Vol de Juillet à Septembre. (Guide des papillons nocturnes de France)

Adulte : Ailes antérieures crème traversées de bandes obliques noires, chatoyant en bleu-vert. Ailes postérieures rouge écarlate, très rarement jaunes ou orangées, avec trois ou quatre taches noires. Chenille : Atteint 50 mm. Gris noirâtre, avec une ligne dorsale jaunâtre, une rangée latérale de taches blanches et des verrues sétigères brun rouge surmontées d’aigrettes de courtes soies claires. Plantes hôtes : Sur diverses plantes arbustives et herbacées, notamment sur le framboisier (Rubus idaeus), la Sauge de prés (Salvia pratensis), le Séneçon des Sarrasins (Senecio nemorensis fuchsii), l’Ortie dioïque (Urtica dioica), la Petite pimprenelle (Sanguisobra minor) et la Vipérine commune (Echium vulgare) Habitat : Orées forestières mésophiles, pelouses sèches modérément embuissonnées, mégaphorbiées. Espèce thermophile, très abondante dans le Midi, moins banale dans la partie septentrionale de la France, mais encore assez commune presque partout. Biologie : L’espèce ne donne qu’une génération annuelle. L’adulte, de mœurs à la fois diurnes et nocturnes, butine activement en plein soleil sur l’Eupatoire chanvrine (Eupatorium cannabinum) et les Panicauts (Eryngium spp.), et vient à la nuit à la lumière. Les œufs sont déposés à la face inférieure de la plante hôte Dans son jeune âge la chenille se nourrit préférentiellement de plantes basses, après hivernage, elle vit davantage aux dépens des végétaux ligneux, notamment du framboisier. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

Eurasiatique. A travers toute l’Europe, jusqu’en Asie Mineure. En France, répandue sur tout le territoire, Corse comprise. Elle fréquente tous les types de milieux : bordures, allées et chemins forestiers, parcs et jardins jusque dans les zones urbanisées. Les chenilles se nourrissent notamment sur Urtica dioica, mais aussi sur diverses plantes herbacées. Les imagos ont une activité diurne. La forme lutescens est connue du Nord Ouest de la France Vol : VII-IX. Espèce univoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

Mâle. Envergure : 40-60 mm. Avec ses ailes antérieures zébrées de blanc sur fond bleuâtre ou verdâtre et ses postérieures rouges à points noirs, cette écaille est caractéristique. Femelle. Envergure : 45-60 mm. Semblable. Variation. L’aile postérieure peut être orangée : f. saturnina Oberthür, 1892, ou jaune f. lutescens Staudinger, 1861. La ssp. rhodosensis (Daniel, 1953) (décrite de Rhodes où elle pullule dans la « Vallée des papillons ») a un lustre plus accentué. La ssp. fulgida (Oberthür, 1896), de Grèce et d’Iran, a des ailes antérieures au lustre plus verdâtre et des postérieures aux taches noires plus étendues. Euplagia splendidior (Tams, 1922), de Turquie et d’Arménie, a des bandes transversales plus épaisses sur un fond au lustre plus accentué. Espèce proche : Aucune en Europe. Biologie. Chenille sur Eupatoire, Origan, et de nombreux arbres arbustes et plantes basses. Lieux humides et boisés, berges, talus, parcs et jardins. Se débusque aisément durant la journée. Jusqu’à 2000 m en montagne. Période d’apparition. Juillet à mi-septembre. Distribution. De L’Europe à l’Iran. En Europe, du sud de l’Angleterre (Devon, Channel, Islands) où – comme localement près du Mont Saint Michel – la forme lutescens Staudinger, prédomine, à la Sicile, la Corse et la Grèce. En France, presque partout. Statut. Assez commun. (NAP, Papillons de nuit d’Europe volume 1, Patrice Leraut)



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Euthrix potatoria (Linnaeus, 1758)
Buveuse
Longueur maximale : 75 mm. Corps gris bleuté dorsalement, noir latéralement. Abondante pilosité d’un roux clair. Sur le dos, une double série longitudinale de petites touffes de soies noires. Mésothorax et huitième segment abdominal dorsalement pourvus d’une grande touffe médiane de poils noirs. Flancs avec une large bande de dessins rouge orangé au-dessus des stigmates et, sous ces derniers, une série de touffes blanches entrecoupées de dessins rougeâtres. Tête noire, marquée de roux. (guide des chenilles d’Europe)

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Proserpinus proserpina (Pallas, 1772)
Sphinx de l’épilobe, Sphinx de l’oenothère
Plutôt méditerranéen. Répartie du sud de l’Europe jusqu’en Iran. Présent dans toute la France continentale. La chenille se développe principalement sur Epilobium. Le papillon visite parfois les fleurs en journée mais le plus souvent à la tombée de la nuit. Période de vol : IV - VI. Espèce univoltine. Espèce protégée par arrêté publié au Journal officiel du 24 septembre 1993. (Guide des papillons nocturnes de France - Editions Delachaux et Niestlé).

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Deilephila elpenor (Linnaeus, 1758)
Grand sphinx de la vigne
L’imago se nourrit en vol et il est souvent attiré par les chèvrefeuilles au crépuscule. Il est visible de mai à juin puis de juillet à septembre.

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Smerinthus ocellata (Linnaeus, 1758)
Sphinx demi-paon
Observation de Villatte Raymond - Vaulry (87) - 22/06/2012 Observation de Brigitte Seys - Carvin (62) - 30/06/2011 Observation de Brigitte Seys et Denis Vandromme - Fonterland (36) - 21/04/2011 Observation de Mme Blanc Josselyne - Savas (07) - 02/07/2010 Observation de Le Mao Patrick - La Rougeolais Saint-Pierre-de-Plesguen (35) - 25/05/2010 Observation de Gesnel Eve - Corneilles en Parisi (95) - 22/05/2010 Observation de Brigitte Seys - Carvin (62) - 22/05/2010 Observation de Brigitte Seys - Carvin (62) - 29/06/2009 Observation de Mr Godet Laurent - Tréméreuc (22) - 04/07/2008 (...)

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Amphipyra pyramidea (Linnaeus, 1758)
Pyramide, Noctuelle du noyer
Elle occupe toute la France. Elle est proche de l’habitus de Amphipyra berbera (la Berbère), ce qui est à l’origine de nombreuses confusions et d’erreurs de détermination (à l’état adulte). Elles possèdent également des moeurs similaires. On la rencontre dans divers milieux forestiers, y compris en zone urbaine. La chenille, polyphage, se développe sur diverses essences dont le chêne, le peuplier, le saule, le charme... Période de vol : Juillet à Octobre. Espèce univoltine. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Deilephila elpenor (Linnaeus, 1758)
Grand Sphinx de la Vigne
Longueur maximale : 80mm. Corps robuste, fortement rétréci à proximité de la tête. Tégument ocre clair, parfois vert, avec de nombreux dessins et taches d’un brun noirâtre (moins nets vert l’avant). Segments abdominaux 1 et 2 ornés chacun d’une paire de grandes taches réniformes, lilas clair et bordées de blanc et de noir. Scolus postéro-abdominal relativement petit. Tête d’un brun grisâtre foncé. Les jeunes chenilles sont vertes. (guide des Chenilles de l’Europe)

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Euproctis similis (Fuessly, 1775)
Cul doré

Description. Longueur maximale 40 mm. Corps noir avec des soies noires et grises issues de petites verrues. Une double ligne médio-dorsale, d’un rouge orangé vif. Deux rangées latéro-dorsales de taches blanches, formées de touffes de poils ras. Flancs marqués, sous les stigmates, d’une ligne longitudinale d’un rouge terne. Tête noire, avec un dessin blanchâtre, en forme de "V".

Biotopes. Haies, bois et broussailles.

Cycle biologique. Généralement, un génération par an. Les pontes se trouvent sous les feuilles (juillet) ; chacune d’elles comprend de nombreux oeufs, recouverts par des poils abdominaux de l’imago femelle. La vie larvaire s’étend d’Août à mai, avec une période d’hibernation (pendant celle-ci, les chenilles restent cachées dans de petites poches de soie). La nymphose a lieu dans le feuillage de la plante-hôte. De couleur brune, les cocons incorporent des soies larvaires. Émergence en juillet.

(Guide des chenilles d’Europe - D. J. Carter et B. Hargreaves - Delachaux et Niestlé)



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Mimas tiliae (Linnaeus, 1758)
Sphinx du tilleul

Le sphinx du tilleul peut se rencontrer en milieu urbanisé, surtout là où des tilleuls ont été plantés. Peuple les jardins, les haies, les avenues bordées d’arbres, les parcs et les bois de feuillus. Vol : Mai-Juin. (Nature en poche - Larousse)

Longueur maximale : 60 mm. Corps vert, finement moucheté de blanc jaunâtre et orné, de chaque côté, de sept stries obliques essentiellement jaunes. Stigmates cerclés de rouge. Scolus du huitième segment abdominal dorsalement marqué de bleu et ventralement teinté de jaune et de rouge purpurin. Ecusson anal jaune et brun pourpré, avec des aspérités bien nettes. Capsule céphalique triangulaire, verte avec des raies blanches. Avant de se nymphoser, la chenille change de couleur et devient brun pourpré. (guide des chenilles d’Europe)

CHENILLE. Atteint 60 mm de longueur. Vert lumineux, avec sept stries obliques jaunes, souvent maculées de rouge, sur les flancs ; corne bleue ou verdâtre, avec la face inférieure maculée de jaune et de rouge.

La chenille se nourrit surtout la nuit. Au terme de son développement, elle prend une couleur rose violâtre, sur laquelle tranche sa corne, d’un bleu lumineux, puis descend au sol. Lors de l’errance de prénymphose, on l’observe souvent à terre, recherchant l’abri adéquat pour la métamorphose. La nymphose s’effectue à faible profondeur dans une loge souterraine dont les parois sont tapissées d’un léger réseau soyeux. Occasionnellement, elle peut avoir lieu dans les fissures de l’écorce. La chrysalide hiverne, mais libère parfois l’imago dès l’été ; dans ce cas, l’espèce donne une seconde génération. (Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann - Nathan)



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Orgyia antiqua (Linnaeus, 1758)
Etoilée
Longueur maximale : 35 mm. Corps gris foncé, avec des verrues rougeâtres portant de longues soies blanc grisâtre. Sur chacun des quatre premiers segments abdominaux, une brosse dorsale constituée de poils bruns, jaunes ou ocre clair. Prothorax pourvu d’une paire de longs pinceaux noirs, dirigés vers l’avant ; En outre, deux petits pinceaux latéraux noirs, sur le deuxième segment abdominal. Flancs montrant, au niveau des stigmates, une ligne longitudinale blanche, discontinue. Tête d’un noir luisant. Les soies de cette chenille sont urticantes. (le guide des chenilles d’Europe)

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Spilosoma lubricipeda (Linnaeus, 1758)
Ecaille tigrée
Longueur maximale : 40 mm. Tégument d’un gris brunâtre foncé. Des touffes de soies noirâtres, issues de verrues noires, en relief. Une bande médio-dorsale rouge ou orangée. Tête d’un noir luisant. (guide des chenilles d’Europe D.J. Carter, B. Hargreaves)

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Euplagia quadripunctaria (Poda, 1761)
Callimorphe, Écaille chinée

Partout en France, dans les bordures, allées et chemins forestiers, parcs et jardins, zones urbanisées. Activité diurne. Forme lutescens au Nord-ouest de la France. Vol de Juillet à Septembre. (Guide des papillons nocturnes de France)

Adulte : Ailes antérieures crème traversées de bandes obliques noires, chatoyant en bleu-vert. Ailes postérieures rouge écarlate, très rarement jaunes ou orangées, avec trois ou quatre taches noires. Chenille : Atteint 50 mm. Gris noirâtre, avec une ligne dorsale jaunâtre, une rangée latérale de taches blanches et des verrues sétigères brun rouge surmontées d’aigrettes de courtes soies claires. Plantes hôtes : Sur diverses plantes arbustives et herbacées, notamment sur le framboisier (Rubus idaeus), la Sauge de prés (Salvia pratensis), le Séneçon des Sarrasins (Senecio nemorensis fuchsii), l’Ortie dioïque (Urtica dioica), la Petite pimprenelle (Sanguisobra minor) et la Vipérine commune (Echium vulgare) Habitat : Orées forestières mésophiles, pelouses sèches modérément embuissonnées, mégaphorbiées. Espèce thermophile, très abondante dans le Midi, moins banale dans la partie septentrionale de la France, mais encore assez commune presque partout. Biologie : L’espèce ne donne qu’une génération annuelle. L’adulte, de mœurs à la fois diurnes et nocturnes, butine activement en plein soleil sur l’Eupatoire chanvrine (Eupatorium cannabinum) et les Panicauts (Eryngium spp.), et vient à la nuit à la lumière. Les œufs sont déposés à la face inférieure de la plante hôte Dans son jeune âge la chenille se nourrit préférentiellement de plantes basses, après hivernage, elle vit davantage aux dépens des végétaux ligneux, notamment du framboisier. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

Eurasiatique. A travers toute l’Europe, jusqu’en Asie Mineure. En France, répandue sur tout le territoire, Corse comprise. Elle fréquente tous les types de milieux : bordures, allées et chemins forestiers, parcs et jardins jusque dans les zones urbanisées. Les chenilles se nourrissent notamment sur Urtica dioica, mais aussi sur diverses plantes herbacées. Les imagos ont une activité diurne. La forme lutescens est connue du Nord Ouest de la France Vol : VII-IX. Espèce univoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

Mâle. Envergure : 40-60 mm. Avec ses ailes antérieures zébrées de blanc sur fond bleuâtre ou verdâtre et ses postérieures rouges à points noirs, cette écaille est caractéristique. Femelle. Envergure : 45-60 mm. Semblable. Variation. L’aile postérieure peut être orangée : f. saturnina Oberthür, 1892, ou jaune f. lutescens Staudinger, 1861. La ssp. rhodosensis (Daniel, 1953) (décrite de Rhodes où elle pullule dans la « Vallée des papillons ») a un lustre plus accentué. La ssp. fulgida (Oberthür, 1896), de Grèce et d’Iran, a des ailes antérieures au lustre plus verdâtre et des postérieures aux taches noires plus étendues. Euplagia splendidior (Tams, 1922), de Turquie et d’Arménie, a des bandes transversales plus épaisses sur un fond au lustre plus accentué. Espèce proche : Aucune en Europe. Biologie. Chenille sur Eupatoire, Origan, et de nombreux arbres arbustes et plantes basses. Lieux humides et boisés, berges, talus, parcs et jardins. Se débusque aisément durant la journée. Jusqu’à 2000 m en montagne. Période d’apparition. Juillet à mi-septembre. Distribution. De L’Europe à l’Iran. En Europe, du sud de l’Angleterre (Devon, Channel, Islands) où – comme localement près du Mont Saint Michel – la forme lutescens Staudinger, prédomine, à la Sicile, la Corse et la Grèce. En France, presque partout. Statut. Assez commun. (NAP, Papillons de nuit d’Europe volume 1, Patrice Leraut)



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Inachis io (Linnaeus, 1758)
Paon du jour
Les ocelles spectaculaires et la couleur criarde du paon du jour le rendent sans pareil. Comme d’autres vanesses colorées, c’est un visiteur fréquent des jardins où il vient butiner, notamment les fleurs de buddleias et les Mesembryanthemum. Au repos, les ailes repliées, la coloration cryptique du verso et le bord découpé des ailes donnent au papillon l’aspect d’une feuille morte ou d’une écorce, tel un excellent camouflage. Inquiété, le paon du jour ouvre brusquement ses ailes, dévoilant ainsi ses ocelles qui effraient les prédateurs potentiels. Fréquente les bords des chemins, les haies, les talus, les prairies, les jardins et les parcs. Vol : Juillet à Septembre, puis Mars à Mai après hivernage. (Nature en poche - Larousse)

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Ochlodes venatus (Bremer & Grey, 1853)
Sylvaine
28-34 mm. Aile antérieure : marque androconiale très visible chez le mâle absente chez la femelle. Commun dans les champs, les collines crayeuses et en bordure de forêt, présent parfois sur les côtes. Très actif, s’attarde rarement sur une fleur. Vol de juin à août. génération : 1 (2 au sud)

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Pyrausta aurata (Scopoli, 1763)
Pyrale de la menthe, Pyrale dorée
Menthe
Observation Porteneuve Jean-Jacques - Castries (34) - 16/09/2018 Observation Porteneuve Jean-Jacques - Lunel-Viel (34) - 02/10/2012 Observation de Brigitte Seys - St Hilaire sur Benaize (36) - 17/04/2011 Observation de Vogel Gérard - Stenay (55) - 04/08/2010 Observation de Nathalie Vansieleghem - Parc de Tournay-Solvay (Bruxelles - Belgique) - 18/07/2010 Observation de Vogel Gérard - Montmedy (55) - 09/06/2010 Observation de Vogel Gérard - Stenay (55) - 08/06/2010 Observations de M. Porteneuve Jean-Jacques - Goudet (43) - 22/05/2010 Observation de Nathalie Vansieleghem - (...)

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Zygaena transalpina (Esper, 1780)
Zygène transalpine
Avertissement concernant cette espèce : la détermination certaine passe par l’étude des genitalias. Il ne s’agit donc que de propositions d’identifications.

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