L’espèce a été décrite à partir d’un mâle (holotype) collecté dans le bassin supérieur du Congo à Yakusu. Elle n’est pas rare en Afrique Centrale. A été répertoriée en République Centrafricaine (Bangui). L’extrémité des ailes, ourlée de lunules blanches, est caractéristique de l’espèce,
Détermination et commentaires de M. Guy Sircoulomb
L’espèce a été décrite à partir d’un mâle (holotype) collecté à Kala Village (18 km à l’ouest de Yaoundé) à 730 m. A ce jour, elle n’est connue que du Cameroun.
1 mâle et 1 femelle collectés et examinés.
Détermination et commentaires de M. Sircoulomb Guy
Envergure alaire : 1,9 cm. Envergure totale : 3,5 cm. L’espèce est représentée en Afrique par deux sous-espèces. Au Cameroun vole la sous-espèce nominative (A. devoluta devoluta) qui a été décrite par Walker (en 1861) à partir d’un mâle (syntype) sans localité précise (seulement "West Africa"). Au Congo, vole la ssp. A. devoluta ghesquieri qui a été décrite en 1941 par le Dr. Debauche, à partir d’une femelle (holotype) collectée à Eala.
Détermination et commentaires de M. Sircoulomb Guy
Identification et commentaires de M. Sircoulomb Guy :
Envergure alaire : 2,5 cm. Envergure totale : 4,3 cm. Espèce décrite (syntype) à partir d’un mâle collecté à Upper Kasai River (République Démocratique du Congo, ex Zaïre). Répartition : Bassin du Congo. L’espèce est figurée dans le Seitz, volume 16 (Fauna Africa) à la planche 16 d. Peu de choses sont connues sur elle.
Envergure alaire : 2,2 cm. Envergure totale : 4,1 cm. L’espèce est représentée en Afrique par deux sous-espèces : la sous-espèce nominative (M. aemonia aemonia Swinhoe, 1904) qui a été décrite à partir d’une femelle (syntype) collectée à Kampala (Ouganda) et la sous-espèce M. aemonia restrictiflava Prout, 1922 qui a été décrite à partir d’un mâle (holotype) collecté au Cameroun : Bitje, Ja River.
Détermination et commentaires de M. Sircoulomb Guy
Espèce décrite à partir d’une femelle collectée près de Yaoundé (Cameroun) : Mont Nkolbiyong, 1150 m., 08-12.X.1973, A. Ntomb leg.(holotype). L’espèce a aussi été collectée au Mont Kala (18 km. ouest de Yaoundé), 900-1100 m., 28.II.1975, Ph. Darge leg. (paratype). Le spécimen en photo présente un intérêt, car il s’agit d’un mâle (antennes bipectinées) : lors de sa description originale ("note sur le genre Zeuctoboarmia"), Cl. Herbulot a indiqué que ce sexe était inconnu. L’espèce ne présente pas de dimorphisme sexuel, les deux photos (celle du site et celle du travail de Cl. Herbulot) représentant des spécimens parfaitement identiques.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Espèce laissée indéterminée dans le doute. Il est fort probable qu’il s’agisse de L. palliata Warren,1898 car l’espèce est variable aussi bien dans la teinte de ses ailes que dans la forme de ses taches maculaires. Une autre espèce, R. mutanda Herbulot, 1983 a été décrite du Cameroun, mais elle ne possède pas la caractéristique tache noire ou gris-bleuté qui longe le bord anal des ailes inférieures.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Espèce indéterminée, similaire aux spécimens n° 9010 (espèce 59) et n° 9992 (espèce 73) du site. Les trois, à regrouper ensemble.
Commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Une des nombreuses espèces (le genre en contient une soixantaine) à déterminer.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Le genre Chorodna comprend environ 45 espèces qui, à l’exception de Ch. ugandaria, sont toutes asiatiques. Ce sont des hétérocères de grande taille, que l’on rencontre de l’Inde et de la Chine jusqu’en Papouasie Nouvelle-Guinée (Irian Jaya). Chorodna ugandaria est le seul représentant africain. Il a été décrit à partir d’un syntype mâle, collecté à Entebbe (Ouganda). L’espèce est présente dans une grande partie de l’Afrique tropicale équatoriale.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Espèce décrite à partir d’une femelle (holotype) collectée à Buja, en République Démocratique du Cogo (ex Zaïre et Congo belge).
Détermination et commentaires de M. Sircoulomb Guy
Le genre Archichlora, voisin des Victoria, comprend une quarantaine d’espèces, toutes africaines. A. pulveriplaga a été décrit à partir d’une femelle collectée à Warri (Nigeria).
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Espèce décrite à partir d’une femelle collectée en Sierra Leone. De la Côte d’Ivoire à la République Centrafricaine vole la sous-espèce nominative (V. immunifica immunifica) tandis qu’au Rwanda vole la sous-espèce V. immunifica ruandana décrite par Cl. Herbulot en 1989.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Cette espèce, ainsi que plusieurs autres voisines, est actuellement incluse dans les Cyclophora (Scoble, 1999) mais une révision taxinomique de l’ensemble des espèces africaines réunies dans ce genre serait nécessaire. C.leonaria été décrit à partir d’un mâle collecté en Sierra Leone.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Le genre Geolyces (Warren, 1894) comprend une dizaine d’espèces africaines, voisines des Miantochora. G. attesaria a été décrit à partir d’un mâle collecté au Congo (sans précision de la localité). L’espèce est répandue dans le bassin congolais, jusqu’en République Centrafricaine. Au Cameroun elle a été observée au sud-ouest d’Ekona (au Mont Cameroun, à 900 m.)
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
L’espèce est probablement Ch. affinis, mais un examen des genitalia serait souhaitable pour confirmation. L’espèce a été décrite à partir d’un mâle collecté à Kayanga, Usoga ( ? Ouganda) et appartient au groupe n° 12 "simplicilinea" de Krüger. Au Cameroun, elle est connue de Batouri District, Gadgi (750 m.) et Bitye et semble associée aux forêts tropicales.L’examen de divers spécimens (Krüger, 2001) prouve que l’espèce vole d’ avril (Angola) à décembre (Soudan).
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Espèce déterminable qu’après examen des armures génitales. Le genre comprend de très nombreuses espèces, toutes similaires au sein de leurs groupes respectifs.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Espèce déterminable qu’après examen des armures génitales. Le genre comprend de très nombreuses espèces, toutes similaires au sein de leurs groupes respectifs.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Espèce décrite à partir du femelle collectée à Warri (Nigeria). Le genre Lophorrhachia comprend 13 espèces, toutes africaines, aux ailes antérieures et postérieures plus ou moins maculées de la même façon.
Identification confirmée grâce à deux femelles collectées et examinées.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Espèce décrite à partir d’un mâle collecté au Mont Nimba (Guinée). Cette espèce est voisine de C. ansorgei (photo 8825 du site) et de C. anisocia du Congo.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Genitalia obligatoire. Il pourrait s’agir de la même espèce que la précédente.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
La diversité et la grande variabilité des Cleora ne permettent pas des identifications sur simple vue. Des examens de leurs structures génitales s’imposent pour chaque cas. La teinte très claire du spécimen en photo, fait penser à Cleora oculata Fletcher, 1967, mais l’identification reste à vérifier. Par le graphisme de ses dessins alaires, l’espèce ressemble beaucoup à Zeuctoboarmia viverra (photo n° 8920 du site) : il s’agit d’un exemple de convergence. Toutefois, le revers des ailes antérieures du spécimen photographié montre une macule quadrangulaire apicale grisâtre, bien caractéristique aux Cleora (observation d’Antoine Guyonnet).
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Une des nombreuses espèces, déterminables après examen des structures génitales.
Identification et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Espèce à déterminer. Ressemble un peu, par son aspect extérieur, à Idaea prionodonta du Sénégal.
Identification et commentaires de Mr Sircoulomb Guy.
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
Espèce inconnue Ennominae, ? Hypochrosini ?
Peut-être un Epigynopteryx ou espèce d’un genre voisin.
Commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
Une des nombreuses espèces du genre, déterminable seulement après examen de l’armure génitale. L’espèce photographiée présente quelques ressemblances avec S. luxipuncta du Congo (Kivu).
Commentaires de Mr Sircoulomb Guy
La sous-espèce nominative a été décrite à partir d’une femelle, collectée au Sierra Leone. Elle est largement disséminée du Sénégal à l’Afrique du Sud, longeant la partie ouest africaine (Cameroun, Angola etc.). La sous-espèce T. observata atroviridata Saalmüller, 1880 vole aux Comores, à la Réunion et à Madagascar. La teinte habituelle du papillon est souvent plus foncée que celle du sujet photographié.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
A déterminer. Probablement un Geometrinae Hemitheini, proche des Prasinocyma.
Commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Le genre Derambila comprend 45 espèces toutes paléotropicales (Afrique et Asie). Les papillons de ce genre sont caractérisés par leurs ailes de couleur blanche et ponctuées de points noirs ainsi que par leurs longues et fines antennes et pattes. La sous-espèce nominative D. synecdema sycnedema a été décrite à partir d’un mâle collecté à Ja River, Bitje (Cameroun), tandis que la sous-espèce D. synecdema mitigata Fletcher, 1958 a été décrite du Malawi (Plateau de Zomba). Au Cameroun vole une autre espèce très ressemblante, mais plus petite : Derambila thearia Swinhoe, 1904.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Jolie espèce à déterminer. Il s’agit d’une femelle, dont la livrée s’apparente à celle de certains Biston africain
Commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Détermination par les armures génitales. Par sa petite taille et sa couleur blanchâtre, évoque un Idaea. En Afrique, nombreuses petites espèces similaires, dont la plupart certainement non décrites. L’espèce en photo ressemble à Scopula euphemia Prout, 1920 du Nigeria ou encore Scopula ossicolor Warren, 1897 de Sierra Leone, pour n’en citer que deux propres à l’Afrique de l’Ouest.
Commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Lycaenidae très répandu sur le continent Africain.
Détermination et commentaires de Mr Martin Jean-Claude
C’est un Lycaenidae forestier.
Détermination et commentaires de Mr Martin Jean-Claude
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
L’espèce comprend deux sous-espèces : N. perplexata perplexata qui a été décrite à partir d’un mâle collecté à Ashanti (Ghana) et N. perplexata ugandensis Prout,1926 qui a été décrite de Toro (Ouganda). Toutefois, il serait prudent de vérifier les genitalia, car une autre espèce, N. tenuiorata Walker 1862, lui est très voisine d’aspect et est répandue du Ghana jusqu’en Angola, formant sept sous-espèces (ssp. melanthia, nudella, perspersa, zerenaria, limbobata, kinduensis et lomelensis).
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
Cette sp. est très variable. La ssp. concolor est aussi présente en Afrique centrale jusqu’au sud du Congo, ex Zaïre.
Détermination et commentaires de Mr Martin Jean-Claude
Répartition : Guinée, Liberia, Ghana, Cameroun, Gabon, Angola, Zaïre. Espèce décrite à partir d’un mâle collecté à Boukouni près de Macenta, en Guinée. Fait partie des Zamarada de teinte blanche appartenant au groupe "perlepidata". Au Cameroun, l’espèce a été observée dans le massif du Manengouba (piste Bakwat-Mwakoumel, 1240 m.) et N’Kolbisson (7 km. ouest de Yaoundé, 700 m.) par Claude Herbulot. Un examen des genitalia serait cependant souhaitable, car il existe une autre espèce camerounaise du même groupe, Z. terpishore Oberthür,1912 , qui est lui très ressemblante.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Espèce décrite par Prout en 1915 à partir d’un mâle (syntype) collecté à Ja Rvier, Bitye, 2000 ft. (Cameroun). Le genre Dysnymphus comprend 3 espèces, toutes d’Afrique occidentale.
Détermination et commentaire de M. Sircoulomb Guy
1 femelle collectée et examinée, de couleur vert-émeraude. L’espèce est répandue de l’Afrique Centrale à l’Afrique du Sud, formant 3 différents taxa : la sous-espèce nominative décrite du Kenya (C. simplex simplex Warren, 1902) qui vole en Afrique de l’est, la ssp. C. simplex viridicilla Fletcher, 1978 décrite de Tanzanie et qui vole en Afrique australe, et la ssp. C. simplex rubropunctata Fletcher, 1958 qui se trouve en Afrique équatoriale et qui a été décrite à partir d’un mâle (holotype) collecté en Ouganda au Ruwenzori : Ruimi Valley.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Espèce à déterminer. Le même papillon a aussi été collecté à Boukoko, en République Centrafricaine (27.VII.1970, Jean Poulard leg). Une espèce assez proche, Menophra penumbrata Warren, 1905 est connue du Cameroun (Mont Cameroun, 5km. S-W. Ekona) mais elle diffère par ses stries plus nombreuses aux ailes antérieures.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Détermintion de l’espèce seulement certaine après examen de l’armure genitale.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
La sous-epèce nominative C. stillata stillata Felder & Rogenhofer, 1875 a été décrite de Côte-d’Ivoire (Bingerville) à partir d’une femelle. L’espèce est répandue dans une grande partie de l’Afrique, de Sao Thomé à l’Afrique du Sud. Hormis la sous-espèce nominative, elle présente deux autres sous-espèces : C. sitllata mirabiliaria du Cameroun (la photo) et C. stillata modesta Herbulot, 1962 propre aux Iles Aldabra. Dans son catalogue des hétérocères d’Arabie Saoudite, E. P. Wiltshire mentionne l’espèce de Makkah, d’Abha (Shalaby) et de Muhayil mais figure (p.122 - n° 116) un spécimen en provenance d’Ethiopie. Comostolopsis rufocellata Mabille,1900, considéré comme sous-espèce malgache de C. stillata (Janse,1933, mais aussi Viette, 1990), a été élevée à un rang spécifique (Scoble, 1999) et est endémique à cette île. La chenille de C. stillata a été obsevée sur des Celastraceae (Maytenus heterophylla).
Identification confirmée par 3 femelles collectées et examinées.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Espèce inconnue. Avec ses antennes assez longuement bipectinées, le papillon est plus proche des Cosymbiini (Epicosymbia sp.) que des Scopulini (Scopula sp.) aux antennes ciliées-fasciculées ou des Sterrhini (Idaea sp.) aux antennes ciliées-sétosées (exceptionnellement très brièvement bipectinées).
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
L’espèce nominative C. ansorgei ansorgei a été décrite à partir d’un mâle collecté en République Démocratique du Congo (ex Zaire) près de Fort Béni. Une sous-espèce (C. ansorgei tichomecha Prout, 1938) a été décrite des îles Sao Tomé. Le genre Colocleora est exclusivement africain et il englobe 70 espèces.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Espèce décrite à partir d’un mâle collecté au Gabon : Belinga, Central camp, 700 m. Seulement cinq espèces dans le genre, toutes africaines.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
Syntype mâle. La provenance (Silhet, Bangladesh) du spécimen originellement décrit par Herrich-Schäffer est erronée : le genre Melinoessa est exclusivement africain. Melinoessa croesaria est répandue de l’Afrique de l’Ouest à l’Afrique du Sud.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
Espèce décrite (dans le genre Buzura) à partir d’un syntype mâle collecté au Cameroun : Ja River, Bitje. Le genre Colocleora comprend environ soixante-dix espèces, dont plusieurs forment localement des sous-espèces.
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
Le genre Dioprochasma comprend 7 espèces, toutes réparties en Afrique Occidentale. Dioptrochasma mercyi a été décrit à partir d’un mâle collecté à M’baïki (Nord Congo).
Détermination et Commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Espèce décrite à partir d’un mâle (holotype) collecté au sud du Cameroun : Lolodorf. Elle est représentée dans le Seitz (Vol. 16) par une figure médiocre (pl. 5 e) mais toutefois l’espèce est bien reconnaissable.
Identification et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Identification et commentaires de M. Sircoulomb Guy :
L’espèce est de coloris très variable, allant des formes claires à plages blanches à des formes obscurcies à plages brunes. Miantochora picturata varie également par son armure génitale, dont les valves diffèrent beaucoup d’un sujet à l’autre (selon les observations de Claude Herbulot, 1985 : figures 8 et 9). Deux autres espèces volant en Afrique centrale, M. lisa (plus brunâtre) et M. venerata (sous sa forme jaunâtre), présentent également un aspect similaire, mais possèdent respectivement des structure génitales différentes qui sont également variables chez un même sujet.
Espèce décrite à partir d’un mâle collecté près de Fort Beni au Congo (ex Zaïre)
Détermination et commentaires de Mr Sircoulomb Guy
Des trois espèces du genre Pselaphelia (arenivaga, aurata, gemmifera) connues du Cameroun, arenivaga est, d’après Philippe Darge, le plus blême, avec des zoness blanchâtres sur les ailes. Pselaphelia aurata est le plus sombre des trois et est plus orange jaunâtre avec le revers très contrasté.
En résumé : Orange jaune avec marque plus sombre et très contrastée = aurata.
Jaune pâle, zones blanchâtres sur les ailes = arenivaga.
Entre les deux = gemmifera.
Commentaires de Mr Oehlke Bill
Le genre Zeuctoboarmia comprend 25 espèces dont 8 décrites du Cameroun par Claude Herbulot.
Commentaires de Mr Guy Sircoulomb
Mais attention : M. aureola Prout,1934 et M. croesaria Herrich-Schäffer, 1885 sont similaires, avec des teintes différentes (orange et orange foncé). Si la couleur est bien jaune paille, comme sur la photo, il s’agit de M. midas.
Détermination et commentaires de Mr Guy Sircoulomb
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
Espèce à déterminer. Placement dans ce genre incertain et peut-être provisoire.
Détermination et commentaires de Mr Guy Sircoulomb
Des trois espèces du genre Pselaphelia (arenivaga, aurata, gemmifera) connues du Cameroun, arenivaga est, d’après Philippe Darge, le plus blême, avec des zoness blanchâtres sur les ailes. Pselaphelia aurata est le plus sombre des trois et est plus orange jaunâtre avec le revers très contrasté.
En résumé : Orange jaune avec marque plus sombre et très contrastée = aurata.
Jaune pâle, zones blanchâtres sur les ailes = arenivaga.
Entre les deux = gemmifera.
Commentaires de Mr Oehlke Bill
Identification et commentaires de Mr Sircoulomb Guy :
L’espèce est de coloris très variable, allant des formes claires à plages blanches à des formes obscurcies à plages brunes. Miantochora picturata varie également par son armure génitale, dont les valves diffèrent beaucoup d’un sujet à l’autre (selon les observations de Claude Herbulot, 1985 : figures 8 et 9). Deux autres espèces volant en Afrique centrale, M. lisa (plus brunâtre) et M. venerata (sous sa forme jaunâtre), présentent également un aspect similaire, mais possèdent respectivement des structure génitales différentes qui sont également variables chez un même sujet.
Des trois espèces du genre Pselaphelia (arenivaga, aurata, gemmifera) connues du Cameroun, arenivaga est, d’après Philippe Darge, le plus blême, avec des zoness blanchâtres sur les ailes. Pselaphelia aurata est le plus sombre des trois et est plus orange jaunâtre avec le revers très contrasté.
En résumé : Orange jaune avec marque plus sombre et très contrastée = aurata.
Jaune pâle, zones blanchâtres sur les ailes = arenivaga.
Entre les deux = gemmifera.
Commentaires de Mr Oehlke Bill
Espèce décrite à partir d’une femelle (holotype) collectée au Nigeria : River Niger, Warri. Elle est répandue de l’Afrique de l’Ouest à l’Afrique Centrale. Connue du bassin supérieur du Congo (ex Zaïre) : Bopoto et Kassongo (chutes Stanley).
Détermination et commentaires de M. Guy Sircoulomb
Identification à prendre avec les réservers d’usage concernant un papillon non étalé.
Détermination et commentaires de Mr Libert Michel
Adulte : 8 à 12 cm d’envergure. Ailes antérieures gris brunâtre ornées de motifs complexes à base de stries longitudinales et de taches ; ailes postérieures marquées de bandes transversales sombres. Abdomen rose vif, annelé de noir. Trompe atteignant 8 à 10 cm, et même parfois 13 de longueur.
Chenille : Atteint 12 cm. De teinte très variable. Généralement brune, avec des stries obliques blanchâtres bordées de sombre du côté supérieur, et la face ventrale foncée, mais aussi fréquemment vert pâle, avec des stries obliques claires et des rangées de points noirs, voire presque entièrement noire avec des bandes longitudinales latérales jaune ochracé. La corne abdominale, falquée, est jaune avec l’apex noir dans les deux premières variétés chromatique, noire dans la troisième.
Plantes hôtes : En Europe, la chenille se développe essentiellement sur le Liseron des champs (convolvulus arvensis) et le Liseron des haies (Calystegia sepium), et, plus occasionnellement, sur d’autres convolvulacées cultivées comme plantes ornementales. Hors d’Europe, sur ses terres d’origine, elle vit sur la patate douce et, plus rarement, sur les haricots.
Habitat : Largement répandu dans les régions tropicales et subtropicales d’Afrique et d’Asie, ainsi qu’en Australie. En Europe, n’est autochtone que dans l’extrême Sud (Sicile, Crète, sud du Péloponnèse) ; plus au nord, exclusivement représenté par des sujets migrateurs dont l’abondance varie selon les années en fonction des flux migratoires.
Biologie : L’adulte, essentiellement crépusculaire et nocturne, se dissimule durant la journée contre les troncs et les parois rocheuses, où sa livrée homotypique lui assure un camouflage efficace, en dépit de sa grande taille. A la tombée de la nuit, mais parfois dès la fin de l’après-midi, il butine en vol stationnaire sur les fleurs à profonde corolle tubuleuse, notamment sur celles des Tabacs, Plox, Pétunias, Stramoines, ou Saponaires, qu’il explore grâce à sa trompe démesurément longue. Attiré par les éclairages urbains, il vient tournoyer autour des réverbères, où il est souvent confondu avec une chauve-souris. Grâce à ses formes particulièrement aérodynamiques, il compte parmi les plus puissants volateurs de l’ordre des Lépidoptères. Sa vitesse de croisière, sur de courtes distances, peut dépasser 100km/h, et sur les longs trajets, se maintient autour de 50km/h. Cette capacité de vol soutenu lui permet de partir de son principal réservoir, le continent africain, notamment en présence de courants aériens favorables , de franchir sans peine la Méditerranée, puis les Alpes et de se répandre à travers toute l’Europe, souvent jusqu’en Scandinavie. Les individus migrateurs voyagent par petits groupes. Une première vague migratoire quitte l’Afrique dès la mi-avril, atteignant le Nord de la France dès la mi-mai. La vague la plus abondante déferle en juin et peut se prolonger jusqu’en juillet. En cours de migrations, les femelles déposent leurs œufs dès qu’elles rencontrent un milieu favorable abritant des liserons (bermes de chemins et cultures céréalières, par exemple). La ponte peut renfermer jusqu’à mille œufs ; la taille de ces derniers est très faible (environ 1 mm), comparativement à celle du papillon. La chenille grâce à sa robe discrète, jouit d’un camouflage efficace. On ne l’observe guère qu’à l’époque de l’errance de prénymphose, lorsqu’elle traverse routes et chemins à la recherche d’un abri convenable. Elle finit par s’enfouir et aménager une loge souterraine ovoïde, de la taille d’un œuf de poule, dans laquelle elle se transforme, de dix à quinze jours plus tard, en une chrysalide longue de 5 à 6 cm. Grâce au fourreau libre et contourné en spirale qui abrite sa longue trompe, cette chrysalide se distingue aisément des nymphes de toutes les autres espèces européennes des sphingides. En présente de conditions météorologiques favorables, les premiers imagos peuvent émerger chez nous dès le mois de juillet. Cependant, lorsque le cycle larvaire se prolonge trop tard en saison, la nymphose n’a lieu qu’en septembre, et les chrysalides sont dès lors condamnées à périr durant les froids hivernaux. Les individus nés sur le sol européen effectuent, pour partie seulement, une migration de retour, s’envolant vers l’Afrique. L’élevage de cette espèce est aisé. Pour obtenir l’accouplement des sujets nés en captivité, il est nécessaire de les nourrir avec une solution miellée (miel dilué à 1/10). Pour ce faire, on déroule la trompe de l’animal au moyen d’une pince fine et on en plonge l’extrémité dans une coupelle contenant la solution aqueuse. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)
Afrotropicale. Répartie jusqu’en Papouasie, migratrice en Europe jusqu’en Scandinavie. Répandue dans toute la France continentale où elle se reproduit ainsi qu’en Corse. La chenille se développe principalement sur Convolvulus arvensis et Ipomea ; et sur Rumex, Impatiens, Chrysanthenum et Helianthus. Le papillon s’observe dès le crépuscule, sur les fleurs des jardins et des prairies. Période de vol : VI-IX. Espèce bivoltine, plus fréquente en seconde génération. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)
Mâle. Envergure : 85-110 mm. L’aile antérieure, à apex pointu, est gris brunâtre, avec des stries noires longitudinales et des sinuosités blanchâtres et transversales peu distinctes. La postérieure présente une série de lignes noirâtres et concentriques sur fond plus clair. L’abdomen est de façon caractéristique annelé de noir et de rose vif, avec une ligne médiane gris brunâtre.
Femelle. Envergure : 90-115 mm. Semblable, mais aile antérieure moins contastée.
Variation. F. virgata Tutt, 1904 : aire médiane de l’aile antérieure plus foncée. Forme variegata Tutt, 1904 : aires basale et terminale envahies de blanc. Forme obscurata Tutt, 1904 : assombrissement des quatre ailes. Forme alicea Neuburger, 1899, abdomen brun doré (et non gris), lignes transversales jaune doré (et non rouges). Espèce proche : aucune en Europe.
Biologie. Plantes-hôtes : surtout les liserons (dont Convolvulus arvensis). Tous types de biotopes, y compris en ville, puisqu’il s’agit d’un migrateur. Observé jusqu’à 2800 m d’altitude. Vole au crépuscule pour butiner les corolles du tabac, du pétunia, du phlox de la saponaire et du buddléia. Ce grand migrateur revient en Europe chaque année à la saison chaude. Il se reproduit sur place mais ne résiste pas à l’hiver. C’est l’un des papillons les plus rapides en vol (il peut dépasser les 50k m/h). Période d’apparition de mai à novembre.
Distribution. Presque mondiale (sauf vers les pôles). Grand migrateur qui atteint l’Europe chaque année (en quantité variable) et qui remonte parfois en petit nombre jusqu’au grand nord. Statut. Migrateur assez régulier.
Remarque. Agrius cingulatus (fabricius), espèce très proche d’Amérique, a été signalé récemment au Portugal. (NAP, Papillons de nuit d’Europe volume 1, Patrice Leraut)